Mise en conformité du tiers pour la facture électronique

facture électronique

Facture électronique – Le report de la mise en œuvre de la facture électronique offre aux entreprises une occasion précieuse de bien se préparer à cette réforme. En effet, ce délai supplémentaire peut être mis à profit dès à présent pour mettre à jour et enrichir ses bases de données clients. La mise en conformité des clients pour la facture électronique est une étape cruciale pour les entreprises face à l’adoption imminente de cette réforme. En effet, l’importance d’auditer et de mettre à jour les bases de données clients ne saurait être sous-estimée. Ce processus permet d’assurer que les informations soient complètes et exactes, garantissant ainsi la conformité avec les nouveaux modes opératoires et l’utilisation d’un identifiant unique d’adressage fourni par l’Administration fiscale. Audit des Bases de Données Clients La première étape de la mise en conformité consiste en un audit rigoureux des bases de données clients. Cet audit vise à identifier toute donnée manquante ou inexacte, un élément essentiel pour éviter les erreurs de facturation. Par exemple, une absence ou une erreur dans le numéro de TVA intracommunautaire peut entraîner le rejet de la facture, compromettant ainsi les opérations commerciales de l’entreprise. Enrichissement et Correction des Données Après l’audit, il est indispensable d’enrichir et de corriger les données clients. Ce processus peut être complexe, notamment lorsque les entreprises ne disposent que de la raison sociale de leurs clients. La recherche du bon SIREN dans une base de données légale peut être fastidieuse et chronophage, surtout en présence de sociétés homonymes ou de raisons sociales mal saisies. Disposer d’un outil de recherche puissant s’avère alors crucial pour collecter rapidement et de manière fiable les informations nécessaires. Surveillance Continue et Mise à Jour des Données Il est également vital de mettre en place des systèmes de surveillance continue pour maintenir l’intégrité des bases de données. Les modifications des fiches clients doivent être suivies en temps réel afin d’éviter toute désactualisation, particulièrement dans les environnements commerciaux dynamiques. Cette surveillance continue permet de garantir l’exactitude et l’actualité des informations, réduisant ainsi les risques d’erreurs, et donc de rejet de la facture. Prévention de la Fraude Dans le contexte actuel, caractérisé par une recrudescence des incidents de fraude, il est également impératif de protéger les entreprises contre ces risques.  Avec la réforme de la facture électronique, les entreprises françaises devront intégrer des fichiers de facturation directement dans leurs systèmes informatiques. On peut supposer que les fraudeurs mettront à profit cette évolution organisationnelle et technologique pour utiliser des techniques de piratage sophistiquées et modifier les coordonnées bancaires dans les fichiers de factures électroniques ou accéder aux systèmes informatiques des entreprise afin de modifier directement leurs bases de données. Pour les contrer, la surveillance des fournisseurs devient aussi indispensable. Cela implique la mise en œuvre de contrôles continus et rigoureux sur les comptes bancaires des fournisseurs, afin de renforcer la sécurité financière et de prévenir toute tentative de fraude. Solutions et Outils de Conformité Des solutions comme MATA IO proposent des modules spécifiques pour l’audit, l’enrichissement des bases clients et la validation des comptes fournisseurs. Ces outils facilitent le travail des équipes comptables et renforcent la sécurité financière, tout en garantissant la conformité requise pour la facturation électronique. Conclusion La préparation des bases de données pour la facture électronique n’est pas seulement une exigence légale, c’est aussi une mesure prudente pour assurer la pérennité et l’efficacité opérationnelle des entreprises. Il est recommandé d’agir sans délai pour éviter les complications potentielles liées à l’introduction de cette réforme. Pour en savoir plus sur la conformité tiers !

Fraude aux virements bancaires : comment valider un IBAN figurant sur une e-facture ?

fraude aux virements bancaires

La fraude aux virements bancaires est un problème préoccupant pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. Parmi les diverses formes de fraude aux virements bancaires, la plus populaire reste la fraude au faux fournisseur, qui consiste à usurper l’identité d’un fournisseur de l’entreprise, même s’il existe quantité d’autres formes de fraude. Les techniques les plus couramment utilisées pour cette fraude aux virements bancaires (FOVI) comprennent l’usurpation d’identité et l’ingénierie sociale. Les méthodes de contact et d’approche de la victime peuvent varier, mais il est important de noter que les victimes sont souvent touchées de manière indirecte. En effet, lorsqu’une entreprise est victime d’une fraude aux virements, le prochain sur la liste est souvent un client ou un fournisseur de cette entreprise. Cette menace ne connaît pas de frontières, les fraudeurs sont difficiles à identifier et les chances de récupérer les fonds volés sont minimes. Fraude aux virements bancaires : Le contrôle de l’IBAN au cœur du débat ! Pour prévenir la fraude au faux fournisseur, il est essentiel de s’assurer que le compte présenté correspond effectivement à celui du fournisseur, à chaque création ou modification de sa fiche dans la base de données des fournisseurs. Cependant, cette tâche peut s’avérer complexe dans les grandes organisations souvent décentralisées, avec de gros volumes de tiers à gérer. Comment être certain qu’une modification a été apportée aux bases de données et comment vérifier et valider ces changements d’IBAN ? Quels Changements avec la Facture Électronique ? Cette problématique s’étendra également à la facture électronique, qui deviendra obligatoire pour les entreprises à partir de septembre 2026. À partir de cette date, les entreprises françaises devront être en mesure d’intégrer des fichiers de facturation directement dans leurs systèmes informatiques. Dans ce contexte de changement organisationnel et d’évolution des outils informatiques, les fraudeurs utiliseront probablement des techniques encore plus sophistiquées de piratage pour modifier les coordonnées bancaires dans les fichiers de factures électroniques ou pour accéder aux systèmes informatiques des entreprise afin de modifier directement leurs bases de données fournisseurs. Dispositifs de Contrôle Disponibles Il existe néanmoins des pares-feux : des dispositifs permettant de vérifier les coordonnées bancaires fournies par un titulaire de compte à un émetteur de virement. Parmi ces dispositifs, SEPAmail Diamond est une solution bancaire visant à détecter les erreurs de saisie et à lutter contre la fraude aux coordonnées bancaires. SEPAmail Diamond permet notamment de : Détecter les erreurs de saisie en vérifiant la conformité de la structure de l’IBAN. Vérifier l’existence réelle de l’IBAN et s’il correspond à un compte ouvert. S’assurer que l’IBAN correspond bien au titulaire présumé du compte. Une Solution de Sécurité Incontournable En résumé, bien qu’il existe des dispositifs pour tester les comptes fournisseurs, détecter les changements dans les bases de données reste une étape cruciale. C’est là que la solution MATA IO intervient, en détectant en continu tous les ajouts et modifications de tiers, interrogeant automatiquement les dispositifs SEPAmail Diamond ou SIS ID pour valider les nouvelles coordonnées bancaires, et vérifiant systématiquement tous les fichiers de règlement avant leur envoi à la banque. Ainsi, cette procédure devient incontournable et traçable grâce à l’historisation des contrôles effectués. En combinant la solution de sécurité MATA IO avec une base de données, les entreprises peuvent effectuer leurs paiements en toute tranquillité, avec l’assurance que l’IBAN payé correspond bien à celui du fournisseur.   Pour en savoir plus sur la fraude aux virements bancaires, contacter le 0806110020.  

Comment rater son passage à la facturation électronique en trois leçons

facturation electronique

Pour s’assurer de rater son passage à la facturation électronique, il faut procrastiner un peu, ne pas communiquer du tout avec les équipes et surtout ne rien changer à ses méthodes ! MATA présente le guide parfait pour orchestrer un beau fiasco. La facturation électronique, cette révolution tant attendue dans le monde des affaires, laisse certaines entreprises perplexes. Alors que le calendrier de son entrée en vigueur est enfin fixé par la loi de finances 2024, certaines organisations semblent bien décidées à rater le coche. Mais comment faire pour s’assurer de passer à côté de cette opportunité de modernisation ? Voici trois leçons pour rater son passage à la facturation électronique avec brio. Leçon 1 : Attendre, Attendre et encore Attendre le passage à la facturation électronique Qui a dit que la procrastination ne payait pas ? Certainement pas ces entreprises qui préfèrent reporter indéfiniment le chantier de la facturation électronique. Avec un délai supplémentaire de deux années offert par le report de la réforme, pourquoi se presser ? Après tout, qui a le temps de s’informer sur une réforme qui n’aura lieu que dans longtemps ? Pas ces entreprises occupées à d’autres tâches bien plus urgentes, comme la virtualisation des salariés dans le Metaverse. La facture électronique attendra. Leçon 2 : Communiquer ? Pourquoi Faire ? Pourquoi embêter ses collaborateurs avec des informations inutiles sur des obligations lointaines ? Certaines entreprises ont clairement mieux à faire que de perdre leur temps à expliquer l’importance de la facturation électronique à leur équipe. Après tout, qui a besoin de collaborateurs informés et motivés ? Pas ces entreprises qui préfèrent repousser cette corvée à plus tard, et puis à encore plus tard. Après tout, l’ignorance est parfois source de bonheur, du moins jusqu’à ce que l’Administration pointe le bout de son nez. Leçon 3 : Rester dans le passé Pourquoi changer une équipe qui perd ? Ces entreprises ont bien compris que la digitalisation des processus n’était pas pour elles. Pourquoi réduire les délais de paiement quand on peut s’offrir un découvert bancaire ? Pourquoi automatiser les tâches quand on peut s’amuser avec des saisies comptables répétitives ? La facturation électronique ? Une lubie de modernité à laquelle ces entreprises préfèrent résolument tourner le dos. Après tout, pourquoi s’embêter à se moderniser quand on peut continuer à vivre dans un monde fait de fax et de pigeons voyageurs ? En conclusion, rater son passage à la facturation électronique n’est pas aussi facile qu’il n’y paraît. Cela demande du temps, de l’effort et une bonne dose de détermination à rester ancré dans le passé. Mais après tout, qui a dit que l’avenir appartenait à ceux qui se lèvent tôt ? Si en revanche, vous faites plutôt partie de ceux qui préfèrent jouer avec un coup d’avance, venez découvrir nos solutions en cliquant sur : https://mataio-preprod.bubbelcom.com/e-facture/ Pour en savoir plus sur la facture électronique, contacter le 0806110020.  

Facture Electronique : la DGFIP prend la parole

facture électronique - la DGFIP prend la parole

Plongez au cœur de la transformation numérique avec le webinar sur la facture électronique coanimé par MATA IO et la DGFIP. Découvrez les enjeux, le calendrier d’implémentation, et les outils disponibles pour naviguer avec succès dans cette évolution majeure. Cet article offre un aperçu complet sur la transition vers la facture électronique, soulignant l’importance de la préparation pour les entreprises de toutes tailles. Introduction à la Facture Électronique Le 21 mars dernier, un évènement significatif s’est tenu : un webinar dédié à la facture électronique, coanimé par MATA IO et la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP). Mmes SADRANI et MOGENTHALER-PARISE ont présenté les principes de la réforme, les entreprises concernées, le calendrier d’implémentation, et les outils et ressources disponibles pour accompagner les sociétés dans ce virage numérique crucial. La Méconnaissance des PME-TPE Après une petite vidéo introductive, elles ont révélé une réalité surprenante : une majorité de PME-TPE ne savent pas ce qu’est une facture électronique, la réduisant à une simple facture envoyée par email. Un sondage CSA pour REGATE indique que 75% des PME interrogées font cette confusion, tandis que 94% ne considèrent pas cette réforme une priorité. Calendrier d’Implémentation de la Réforme Rappelons que la réforme entre en vigueur dès septembre 2026, puisque toutes les entreprises soumises à la TVA devront être en mesure de recevoir une facture électronique à cette date. E-Invoicing et E-Reporting : Les Nouveaux Standards Les transactions entre entreprises françaises seront désormais encadrées par ce nouveau système de facture électronique aussi appelé e-invoicing, tandis que les échanges avec les particuliers et à l’international seront soumis à une obligation de transmission des données à postériori, appelée e-reporting. Les 2 dispositifs impliquant l’envoi des données de transaction à un portail de facturation, qu’il soit public (PPF) ou privé (PDP). Ce portail aura pour mission de contrôler la qualité des données, d’assurer l’acheminement des factures, et de vérifier leur conformité fiscale. Formats de Facture Électronique et Obligations Trois formats de factures ont été homologuées par l’Administration fiscale : deux formats XML, UBL et CII, et un format mixte, FACTUR X, associant un fichier UBL à un PDF. Dès septembre 2026, les grandes entreprises et les ETI devront émettre leurs factures dans l’un de ces formats, une exigence qui s’étendra aux PME-TPE un an plus tard. En revanche, l’obligation de réception est la même pour tout le monde : dès septembre 2026, l’ensemble des entreprises, y compris les PME-TPE devront être en mesure de lire et d’intégrer les trois formats, puisque ce n’est pas le client qui choisit le format de la facture émise. Outre ces problématiques de formats, les entreprises devront s’assurer de disposer des données obligatoires de la facture électronique et s’assurer qu’elles sont justes, sous peine de voir leurs factures rejetées par le portail. Un gros travail de mise en conformité des bases clients doit être effectué sans plus attendre pour démarrer la phase de test prévue par le PPF dans le cadre du Pilote Facturation Electronique. Outils et Ressources pour les Entreprises Face à ces défis, la DGFIP a mis en place une palette d’outils pour préparer les entreprises : quizz, dépliants, fiches informatives… Ces ressources visent à éclairer les entrepreneurs sur les étapes à suivre pour une transition réussie. Solutions MATA IO pour la Facture Électronique Pour réaliser les opérations de mise en conformité, de production et de réception des factures électroniques, la gamme MATA IO offre des solutions modulaires. Forte de son expérience dans le domaine du contrôle et de l’enrichissement des tiers mais aussi de la dématérialisation des flux, MATA IO, membre du Pilote Facturation électronique, propose des solutions flexibles, expertes et évolutives qui permettront aux entreprises de faire face à ce challenge majeur. Pour en savoir plus sur la facture électronique

Loi de facturation : Les entreprises françaises soumises à la TVA auront 12 mois pour s’y plier

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Loi de facturation : Dans le paysage entrepreneurial français, l’obligation de transition vers la facturation électronique marque une évolution significative, dictée par la loi de Finances 2020. D’ici au 1er septembre 2026, toutes les entités assujetties à la TVA devront avoir adopté ce système, amorçant ainsi un virage important vers le numérique. Cet article, initialement publié par Quentin Périnel le 12 mars 2024, plonge au cœur de cette mutation en s’appuyant sur un événement marquant qui a réuni plus de 2000 acteurs au Palais Brongniart à Paris.   Loi de facturation : l’aube d’une révolution digitale Lors de la journée dédiée à la facturation électronique, la JFE2024, l’attention s’est portée sur l’impératif de la dématérialisation des factures. Cette initiative, qui s’inscrit dans la transition vers une économie « zéro papier », est loin d’être anecdotique. Elle soulève un débat crucial sur la préparation des entreprises françaises à ce changement majeur. Une enquête réalisée par OpinionWay pour Quadient apporte un éclairage sur la disposition des entreprises face à cette évolution. Loi de facturation : Entre disparités et adaptation Les résultats de l’enquête révèlent une diversité dans l’adoption des pratiques de dématérialisation. Près de la moitié des entreprises françaises ont déjà intégré la facturation électronique dans leurs processus financiers, soulignant une prise de conscience significative. Cependant, l’adoption des formats numériques ne se traduit pas nécessairement par une conformité aux exigences légales à venir. En effet, 83% des entreprises n’emploient pas encore les formats spécifiés par la loi, tels que l’EDI, le XML, l’UBL, et le CII, privilégiant plutôt l’usage du PDF simple ou la facturation papier. Les grandes entreprises en avant-garde Il est intéressant de noter que les structures de plus de 50 employés, notamment les ETI et les grands groupes, montrent une avancée notable dans ce domaine. Une majorité d’entre elles ont déjà engagé ou sont en cours d’implémentation de processus de facturation électronique, tant pour leurs fournisseurs que pour leurs clients. Malgré cette avance, le courrier électronique demeure le canal privilégié pour l’envoi des factures, devant les plateformes dédiées. Défis et perspectives La transition vers la facturation électronique ne va pas sans défis. Les entreprises se heurtent à des obstacles liés à leur écosystème, incluant des clients et fournisseurs encore réticents ou non équipés pour s’aligner sur ces nouvelles normes. La simplification et l’automatisation apportées par la facturation électronique sont indéniables une fois le système en place, mais la route vers une adoption universelle s’annonce complexe. Il est impératif que tous les acteurs du marché s’engagent dans cette transformation pour que l’écosystème entrepreneurial français puisse pleinement bénéficier des avantages de la facturation électronique. La loi de Finances 2020 n’est pas seulement un cadre réglementaire à respecter ; elle représente une opportunité d’accélérer la digitalisation des entreprises françaises, favorisant ainsi une économie plus durable et efficiente. En somme, la réunion de plus de 2000 personnes au Palais Brongniart à Paris pour discuter de la facturation électronique témoigne de l’importance et de l’urgence de ce sujet. Avec une échéance fixée au 1er septembre 2026, les entreprises françaises ont un délai de 12 mois pour se conformer à cette nouvelle loi, un défi qui nécessitera à la fois adaptation et collaboration entre tous les acteurs concernés. Pour en savoir plus sur la loi de facturation

Mettez à jour vos bases clients pour éviter les rejets

TP UP

Dès septembre 2026, la facturation électronique deviendra obligatoire, nécessitant des bases clients à jour pour éviter les rejets. MATA IO propose TP UP pour l’enrichissement automatique des données clients, essentiel pour la conformité. Testez gratuitement 100 fiches avec MATA IO ! Dans le contexte actuel de transition vers la facturation électronique, de nombreuses entreprises se retrouvent confrontées à un défi majeur : la mise à jour et l’enrichissement de leurs bases de données clients. Ce processus, bien que crucial, peut se révéler complexe et chronophage. L’introduction de la facture électronique n’est pas simplement une question de technologie et de production de formats ; c’est aussi l’obligation d’assurer l’exactitude et l’intégralité des informations clients. Des données telles que les numéros SIREN, SIRET et de TVA sont indispensables pour une facturation sans rejet. Cependant, la question se pose : ces données sont-elles déjà présentes dans vos systèmes, et surtout, sont-elles fiables ? L’enrichissement des bases clients : une priorité Pour répondre à ce défi, MATA IO, acteur reconnu dans le domaine de la conformité des fournisseurs, propose la solution TP UP. Cette solution innovante offre une méthode automatisée pour l’enrichissement et la mise à jour des fiches clients. Elle se présente comme un outil incontournable pour les entreprises souhaitant se conformer aux nouvelles exigences sans pour autant sacrifier leur efficacité opérationnelle dans des mises à jour fastidieuses et chronophages. Testez gratuitement la solution TP UP Chez MATA IO, nous connaissons bien les enjeux et les difficultés que représente la mise à jour d’une base de données. C’est pourquoi, pour démontrer l’efficacité de TP UP, nous proposons une opportunité unique : tester gratuitement l’enrichissement de 100 fiches clients. Cette offre sans engagement permet aux entreprises de constater par elles-mêmes les bénéfices de la solution. Si vous souhaitez bénéficier de cette offre ou si vous avez des questions sur TP UP, il vous suffit de contacter MATA IO par e-mail. L’équipe est disponible pour répondre à vos interrogations et vous accompagner dans votre transition vers une facturation électronique fluide et conforme. Pour en savoir plus sur la conformité tiers !

Profitez du report de la facture électronique pour enrichir vos bases clients

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La Facture Électronique : un Report Salutaire ? Cet été, le monde des entreprises a poussé un soupir de soulagement : la date butoir pour la facture électronique a été repoussée à 2026. Ce report a été décidé en juillet dernier par l’Administration fiscale, qui avait probablement sous-estimé l’ampleur de la tâche et n’a pas encore finalisé son portail public de facturation (PPF). Cette décision a été accueillie avec soulagement par les entreprises, nombreuses à ne pas avoir encore entamé ce chantier colossal. Mais ce répit inattendu ne doit pas être gaspillé. C’est maintenant que le travail commence ! Le Nettoyage et l’Enrichissement des Bases Clients : une Priorité La facture électronique va imposer la production et la transmission de données qui ne sont pas nouvelles, mais qui peuvent être absentes ou inexactes dans les bases clients des entreprises. Pour rappel, les entreprises enverront leurs factures à leurs clients par l’intermédiaire du portail de facturation, en utilisant un identifiant unique d’adressage fourni par l’Administration fiscale dans un annuaire centralisé. Cet identifiant sera choisi par le client et peut être au niveau SIREN, SIRET ou code/adresse de routage. Le numéro de TVA intracommunautaire, déjà théoriquement obligatoire, le deviendra de facto, puisque ce sera une zone contrôlée de la facture. Diagnostic, Corrections et Enrichissement : les Étapes Cruciales La première étape consiste à auditer sa base clients pour détecter les informations manquantes, puis à corriger et enrichir cette base. Certaines données peuvent ne jamais avoir été saisies parce qu’elles n’étaient pas obligatoires à l’époque, ou elles peuvent être devenues erronées par manque de mise à jour. Si vous disposez des SIREN, il est possible de récupérer les SIRET associés ou de calculer un numéro de TVA intracommunautaire. Cependant, si vous ne disposez que de la Raison Sociale, la tâche se complique, car il faut trouver le bon SIREN dans une base de données d’informations légales, ce qui peut s’avérer complexe et chronophage. En effet, il existe quantité de sociétés homonymes, de raisons sociales mal saisies dans les systèmes d’informations, et à moins de disposer d’un outil de recherche puissant, vous aurez du mal à collecter cette information de manière rapide et fiable. Il vous faudra également vous assurer que cette société est toujours active, que les éléments d’adresse sont toujours corrects, mais aussi détecter et neutraliser les doublons. Le Contrôle Continu : Garantir l’Intégrité des Bases Une fois le travail d’audit et d’enrichissement effectué, il est essentiel de maintenir l’intégrité des bases clients dans le temps. Les bases de données, quelles qu’elles soient, vieillissent rapidement, même avec la meilleure volonté des utilisateurs. La solution consiste à surveiller en continu les créations ou changements dans les fiches clients et à s’assurer qu’elles restent conformes à la facture électronique. Plutôt qu’un traitement ponctuel, une application qui tourne en continu va automatiquement détecter les anomalies et collecter les informations nécessaires pour maintenir la fiche client à jour, sans alourdir la charge de travail des équipes comptables. Sécuriser son Référentiel Fournisseurs La période actuelle, marquée par une augmentation des fraudes, nécessite également de contrôler efficacement les comptes bancaires des fournisseurs et des salariés. Après l’audit et la correction des bases clients, il est recommandé de mettre en place un contrôle continu des bases fournisseurs ou salariés. Automatiser la détection des changements et la validation des comptes fournisseurs devient essentiel. Car, face à la fraude, le volontariat, n’est pas une option : l’objectif est de rendre les contrôles incontournables via une application qui simplifie la tâche des équipes comptables et renforce la sécurité financière des entreprises Des équipes sereines avec la solution MATA IO   Pour réaliser ces opérations d’enrichissement des fiches clients et de contrôle des fournisseurs, la gamme MATA IO offre des solutions modulaires. Forte de son expérience dans le domaine du contrôle des tiers et de la facture électronique, MATA IO propose des progiciels permettant d’auditer et d’enrichir les bases clients en plus de valider les comptes bancaires des fournisseurs et de vérifier les fichiers de règlement. En conclusion, la facture électronique, c’est demain, et il est préférable de se préparer dès maintenant pour s’assurer d’être en conformité avec les exigences réglementaires tant nationales qu’européennes. Des solutions flexibles, expertes et évolutives, telles que proposées par MATA IO, membre du Pilote Facturation Electronique permettront aux entreprises de faire face à cet environnement numérique en constante évolution. Pour en savoir plus sur la conformité tiers !

Facturation électronique reportée mais obligatoire !

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La mise en œuvre de la facturation électronique en France, initialement prévue pour juillet 2024, a été repoussée. Cette décision, annoncée dans l’amendement n°I-5395 du projet de loi de finances pour 2024, fixe désormais le début de son application progressive au 1er septembre 2026.  Cette mesure vise à offrir aux entreprises une transition en douceur vers la facturation électronique, un changement majeur souligné par Konica Minolta dans ses études, révélant que seulement 53 % des dirigeants d’entreprise sont informés à ce sujet. La facturation électronique, c’est quoi exactement ? La facturation électronique, qui devait initialement être mise en place progressivement de 2024 à 2026, implique la dématérialisation des échanges de factures entre les entreprises et leurs clients ou fournisseurs. Contrairement aux factures papier ou PDF, la facture électronique requiert des données structurées dans un format normalisé, défini par le gouvernement français. Quelle forme prend la facture électronique ? Les entreprises doivent utiliser un des 3 formats homologués par l’Administration fiscale : UBL ou CII, qui sont des formats XML, ou FACTUR-X, qui est un format hybride puisqu’il qui associe un fichier XML à un PDF. Pour être considérée comme électronique, une facture doit garantir l’authenticité, la lisibilité et l’intégrité de son contenu, conformément à la norme européenne EN16931. Options disponibles pour la facturation électronique Les entreprises ont plusieurs choix : Utiliser le Portail Public de Facturation (PPF), une plateforme gratuite pour toutes les entreprises, similaire à Chorus Pro. Collaborer avec une Plateforme de Dématérialisation Partenaire (PDP), une plateforme privée qui rendra le même service que le portail public et d’autres services supplémentaires. Choisir un Opérateur de Dématérialisation (OD), un logiciel capable d’envoyer vos factures électroniques directement sur le portail public de l’état. Comment passer à la facture électronique ? Il est conseillé de commencer dès maintenant à préparer cette transition. Commencez par auditer vos bases clients pour vous assurer qu’elles sont compatibles avec la facture électronique. Si ce n’est pas le cas, enrichissez-les. Assurez-vous que votre système de gestion est en capacité de produire et de recevoir des factures aux formats homologués par l’Administration Choisissez le moyen de transmission des factures le plus adapté à votre activité, que ce soit le portail public de facturation ou une plateforme de dématérialisation privée. Il est fortement recommandé de ne pas attendre la dernière minute pour choisir la meilleure option, car la demande et donc les prix augmenteront à l’approche de l’échéance. Familiarisez-vous progressivement avec les différentes offres des PDP ou des OD pour une transition en douceur vers la facturation électronique. Contactez MATA IO pour en savoir plus

Facture électronique : MATA IO est pilote !

Nous sommes heureux de vous annoncer que MATA IO a été sélectionnée par l’AIFE (Agence pour l’Informatique Financière de l’État) pour participer à la phase pilote de la facture électronique. Après analyse, l’Administration, sensible à la présentation de notre projet et à la qualité de notre réponse, a évalué notre dossier au niveau excellent. Elle a particulièrement apprécié le fait que nous ayons rempli minutieusement sa grille de collecte des informations et que nous ayons produit un schéma qui détaille précisément les flux échangés entre les membres de l’équipe pilote. Les membres du pilote : Pour cette démarche pilote, MATA IO s’est entourée de clients partenaires avec lesquels nous collaborons depuis de nombreuses années. Il s’agit de sociétés de toutes tailles et dans des secteurs d’activités divers, mais qui se sont toujours montrées pionnières dans l’adoption des réformes et des nouveaux dispositifs électroniques (SEPA, EBICS TS, SEPAMAIL). Quelles sont les motivations des pilotes ? Chaque entreprise participant à ce projet pilote a exprimé des motivations spécifiques : Compréhension des changements induits : Les partenaires souhaitent saisir pleinement les changements induits par cette réforme pour mieux préparer leur organisation de facturation. Anticipation et adaptation : En participant à la phase pilote, les entreprises cherchent à anticiper au mieux cette réforme pour adapter leurs systèmes informatiques et qualifier les données nécessaires avant l’échéance officielle. Partager les expériences : En intégrant un groupe de travail, les participants bénéficient de retours d’expérience multiples pour faire face aux problématiques qui pourraient surgir tout au long du projet. Quel est l’objectif de MATA IO ? L’objectif principal de MATA IO est de démontrer le bon fonctionnement de sa solution de facturation électronique auprès de ses clients. Pour atteindre cet objectif, il va falloir mettre en place les actions suivantes : Tester l’échange de factures par API avec le portail public de facturation. Valider les formats produits en émission. Gérer le cycle de vie des factures en échangeant les flux de statuts. Intégrer les factures en réception en paramétrant un workflow de validation pour les traiter efficacement et les comptabiliser automatiquement.   Un partenaire aguerri aux évolutions technologiques Forte de son expertise dans les changements de normes bancaires telles qu’ETEBAC, EBICS et des formats comme CFONB, SEPA, ISO20022, MATA IO est bien préparée pour mener à bien cette démarche pilote. Déjà en 2012, MATA, société sœur de MATA IO proposait des convertisseurs à ses clients pour faciliter leur transition vers la norme SEPA, leur donnant ainsi le temps nécessaire pour adapter leurs systèmes d’information.   Conclusion Le projet pilote de facturation électronique jouera un rôle essentiel dans la mise en place complète du dispositif en impliquant tous les acteurs clés. Cette initiative permettra de tester le bon fonctionnement du processus du début à la fin, en associant le portail public de facturation, les plateformes partenaires, les entreprises utilisatrices et les éditeurs de logiciels. En outre, il constituera une opportunité précieuse pour évaluer l’adaptation du dispositif d’accompagnement aux attentes des entreprises, dans un esprit d’ambition et de dialogue. MATA IO est impatiente de participer à ce projet d’envergure nationale qui va transformer durablement les process de facturation et de fiscalité au sein de nos entreprises et remercie l’Administration fiscale de lui donner l’opportunité de participer à cette phase pilote décisive. Contactez MATA pour en savoir plus

Facture Électronique : Un Retard National Coûtant 15 Milliards d’Euros par An

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Malentendu ? Manque de préparation ? Nervosité ? La réforme de la facture électronique a été reportée. Tous les acteurs de la facture électronique espèrent que la DGFiP prendra en compte son écosystème partenaire – entreprises, candidats pilotes et PDP -, qui, bien que volontaire, est inquiet du retard dans la mise en œuvre de cette réforme. Cet événement était attendu comme le grand événement de 2024. La dématérialisation, déjà en vigueur dans le secteur public depuis 2020, concernant les 2,5 milliards de factures émises en France chaque année, devait débuter le 1er juillet 2024 pour se conclure deux ans plus tard. Toutefois, ce calendrier a été reporté cet été, le 28 juillet 2023, par la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), sans préciser les nouvelles échéances. Car, précise la DGFIP : « La date du report sera fixée lors de l’adoption de la loi de finances pour 2024, dans le but d’assurer une transition optimale vers la facturation électronique pour les quatre millions d’entreprises concernées. » Cyrille Sautereau, président du Forum National de la Facture Électronique, n’a pas été surpris par ce retard. Il a noté que cet été, « 27% des entreprises ont déclaré ne pas être prêtes pour la facturation électronique. » Ce qui l’a davantage surpris, c’est l’arrêt soudain du projet. Assurément, pour tous les acteurs du projet, il vaut mieux être pragmatique et repousser d’un an plutôt que de mettre fin au projet, mais en attendant, il ne faut pas rester les bras croisés. » Quelques mois après cette annonce, environ 250 acteurs du secteur se sont réunis pour discuter de l’avenir de cette réforme avec la DGFiP. Certains participants espèrent que cette discussion ne mènera pas à ce qu’ils redoutent le plus : une suspension du projet trop longue qui risque de démobiliser les entreprises qui avaient commencé à préparer leur passage à la facture électronique. La réforme avait pourtant un objectif clair : vérifier la conformité des factures. Mais sa mise en œuvre s’est avérée complexe et multiforme. Le but de cette dématérialisation était de réduire la fraude à la TVA, estimée à 14-15 milliards d’euros pour la France. Mais aussi d’automatiser les process pour réduire les coûts pour les entreprises. Une réforme nécessaire, à l’initiative de l’Administration Fiscale dans laquelle se sont impliqués les candidats pilotes ou PDP (plateforme de dématérialisation partenaire) qui se sont cependant révélés moins nombreux qu’attendu. En effet, les prérequis techniques sont forts et la réforme est complexe, ce qui a pu décourager certains candidats, que le report de la réforme ne va probablement pas rassurer. En conclusion, bien que la facturation électronique présente de nombreux avantages sur le papier, sa mise en œuvre effective se révèle plus difficile que prévu. Il reste à voir comment la DGFiP va poursuivre ce chantier, réussir à remobiliser l’écosystème de la facture électronique pour que cette réforme, indispensable, soit finalement mise en œuvre avec succès. Contactez MATA pour en savoir plus