Comment valider un IBAN figurant sur une e-facture ?

valider un iban

Valider un iban – Ah, la fraude au virement ! C’est un peu comme un film d’espionnage, mais sans le glamour ! Le scénario est généralement bien rodé : un faux fournisseur, un IBAN subtilement modifié, et voilà vos précieux fonds qui s’évaporent. Mais ici, le frisson est bien réel… et pas vraiment agréable. Le faux fournisseur : le grand classique de l’arnaque Dans le monde de la fraude aux virements, l’usurpation d’identité est reine. Les escrocs se glissent dans la peau de vos fournisseurs avec une aisance qui ferait rougir les meilleurs acteurs. Leur mission ? Vous convaincre de modifier l’IBAN pour un compte qui n’a rien à voir avec celui de votre partenaire commercial. Et si vous ne le remarquez pas à temps, l’addition peut vite devenir salée, d’autant que les chances de récupérer votre argent sont aussi minces que de trouver une aiguille dans une botte de foin. Vérifier un IBAN, ce n’est pas sorcier ! Pour éviter de vous faire avoir, la première règle est simple : vérifiez toujours que l’IBAN sur la facture est bien celui de votre fournisseur. Mais, dans les grandes entreprises, qui ont des organisations décentralisées et de gros volumes de tiers à gérer, cette tâche peut s’avérer complexe. Comment être certain qu’une modification a été apportée aux bases de données et comment vérifier et valider ces changements d’IBAN ? Et la facture électronique, c’est pour bientôt ! D’autant qu’à partir de septembre 2026, l’obligation de la facture électronique s’imposera à toutes les entreprises françaises. Si ce progrès a de quoi réjouir les amoureux de la digitalisation, il ouvre aussi la porte à de nouvelles techniques de fraude, plus sophistiquées. Les pirates n’auront de cesse de perfectionner leurs méthodes pour infiltrer vos systèmes et modifier vos fichiers de factures ou bases de données en toute discrétion. Bref, il va falloir redoubler de vigilance pour éviter de se faire piéger. Valider un iban : Heureusement, il existe des boucliers anti-fraude ! Face à ces menaces, il existe heureusement des boucliers efficaces. Parmi eux, SEPAmail Diamond, un service bancaire conçu pour vérifier la validité des IBAN avant tout virement. Ce dispositif s’assure que l’IBAN est correct, que le compte existe bien, et qu’il appartient à la bonne personne. Mais, hélas, il ne fonctionne que si l’on s’en sert … Pour être efficace, il doit être consulté pour tous les fournisseurs crées ou modifiés, ou mieux, pour toutes les transactions effectuées, ce qui peut s’avérer complexe et chronophage pour les entreprises qui ont de gros volumes à gérer. MATA IO, votre allié de confiance Si vous êtes dans ce cas et que vous cherchez le nec plus ultra en matière de protection, MATA IO est votre solution. Ce logiciel surveille en continu les modifications de votre base de données fournisseurs. À chaque nouvelle entrée ou changement d’IBAN, il interroge automatiquement SEPAmail Diamond pour effectuer une vérification en bonne et due forme. Rien ne lui échappe, et il vous garantit que chaque euro envoyé aboutira bien sur le bon compte bancaire. En conclusion, avec MATA IO, vous pouvez gérer vos paiements en toute sérénité. Plus de mauvaises surprises, plus de paiement à risque, seulement des transactions sûres et maîtrisées.   Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.  

Suivre son budget et sa trésorerie quotidienne dans un même logiciel de trésorerie

logiciel de trésorerie

Logiciel de trésorerie – Après des années de taux bas et d’accès au crédit facile, on l’avait un peu oublié, mais la gestion de la trésorerie est cruciale pour toutes les entreprises. Une mauvaise gestion de la trésorerie peut entraîner des problèmes de liquidités et même mettre en péril la survie de l’entreprise. L’importance d’un logiciel de trésorerie pour les entreprises Après des années de taux bas et d’accès au crédit facile, on l’avait un peu oublié, mais la gestion de la trésorerie est cruciale pour toutes les entreprises. Une mauvaise gestion de la trésorerie peut entraîner des problèmes de liquidités et même mettre en péril la survie de l’entreprise. Pourquoi un logiciel de trésorerie est-il indispensable pour établir un budget ? Établir un budget de trésorerie est essentiel pour prévoir les rentrées et sorties d’argent, planifier les investissements et gérer les imprévus. Un logiciel de trésorerie aide à définir un budget précis et à identifier les périodes d’excédents ou de déficits, permettant ainsi de prendre des décisions éclairées pour optimiser les ressources financières de l’entreprise. A quoi sert la gestion quotidienne avec un logiciel de trésorerie ? Le suivi quotidien de la trésorerie permet de garder un œil constant sur les flux de trésorerie réels. Avec un logiciel de trésorerie, il est possible d’ajuster rapidement les dépenses et de mieux gérer les écarts par rapport au budget prévisionnel. Cela assure une gestion proactive des liquidités, minimisant les risques de pénurie de trésorerie et améliorant la stabilité financière de l’entreprise. Quels sont les avantages à suivre son budget et sa trésorerie quotidienne dans le même logiciel de trésorerie ? 1. Meilleure visibilité financière Un logiciel de trésorerie unique offre une vue d’ensemble claire sur la situation financière de l’entreprise. Les tableaux de bord et les rapports intégrés permettent de suivre à la fois le budget prévisionnel et les flux de trésorerie réels. Cette visibilité accrue aide à anticiper les besoins de trésorerie et à ajuster les prévisions en conséquence. 2. Centralisation des données avec un logiciel de trésorerie Utiliser un seul logiciel pour la gestion de la trésorerie permet de centraliser toutes les informations financières au même endroit. Cela facilite l’accès aux données, leur mise à jour et leur consultation en temps réel. Les décisions peuvent ainsi être prises sur la base d’informations complètes et précises. 3. Simplification de la révision des prévisions La gestion intégrée de la trésorerie et du budget dans un logiciel de trésorerie permet d’ajuster ses prévisions plus rapidement. Les tendances historiques et les projections futures peuvent être facilement comparées aux opérations passées en banque. Cette capacité d’ajustement rapide à la trésorerie opérationnelle court terme est cruciale pour maintenir la santé financière de l’entreprise. 4. Gains de temps et d’efficacité avec un logiciel de trésorerie Avoir un logiciel de trésorerie unique réduit le besoin de saisir les mêmes informations dans plusieurs systèmes, ce qui diminue le risque d’erreurs et les efforts redondants. Les tâches de gestion de la trésorerie deviennent plus rapides et plus efficaces, permettant aux équipes financières de se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée. 5. Réduction des coûts grâce à un logiciel de trésorerie Utiliser un logiciel de trésorerie unique pour la gestion de la trésorerie et du budget est plus économique. Cela évite les coûts associés à l’achat, la maintenance et la formation liés à plusieurs logiciels différents. De plus, la centralisation des fonctions réduit les dépenses administratives et opérationnelles. Investir dans un logiciel de trésorerie pour optimiser la gestion financière L’utilisation d’un logiciel de trésorerie unique pour gérer à la fois le budget et la trésorerie quotidienne offre de nombreux avantages qui contribuent à améliorer la gestion financière de l’entreprise. De la centralisation des données à la simplification des processus, en passant par les gains de productivité et la réduction des coûts, cette approche intégrée permet de gagner en efficacité et en précision. Pour toute entreprise souhaitant optimiser sa gestion de trésorerie, investir dans un logiciel de trésorerie est un choix judicieux et stratégique. La société MATA IO s’est positionnée sur ce marché et propose un espace unique et sécurisé pour l’ensemble des opérations de trésorerie, répondant ainsi aux besoins de visibilité des entreprises dans un contexte économique devenu plus difficile et moins prévisible. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.  

Fraude bancaire : la Cour de cassation renforce les conditions de remboursement

fraude bancaire

Fraude bancaire – Avez-vous remarqué des transactions suspectes sur votre compte courant ? Il est crucial de les signaler rapidement à votre banque. En effet, passé un certain délai, votre banque peut refuser de rembourser les opérations frauduleuses. En 2024, la Cour de cassation a rendu deux décisions majeures qui précisent les délais dans lesquels les particuliers peuvent réclamer le remboursement d’un paiement frauduleux. Ces décisions visent à limiter les plaintes tardives de clients découvrant des anomalies sur leur compte bancaire plusieurs années après leur occurrence. Quel est donc le délai à respecter en cas de fraude bancaire ? Fraude bancaire : Un délai de 13 mois pour demander un remboursement Le 27 mars et le 2 mai 2024, la Cour de cassation a statué sur deux affaires concernant le délai d’action en cas de fraude bancaire. Selon les informations rapportées par Le Monde, ces décisions clarifient les conditions dans lesquelles les victimes de phishing, de faux virements ou d’autres fraudes bancaires peuvent obtenir le remboursement des sommes prélevées à tort. Dans ces affaires, les plaignants espéraient pouvoir invoquer le délai de prescription de cinq ans prévu par le droit commun de la responsabilité contractuelle. Cependant, la Cour de cassation a appliqué un régime spécial, qui impose un délai de forclusion plus court de 13 mois, conformément au principe « le spécial déroge au général ». La Cour a ainsi statué : « lorsque la responsabilité d’un prestataire de services de paiement est en cause pour une opération de paiement non autorisée ou mal exécutée, seul le régime de responsabilité défini aux articles L. 133-18 à L. 133-24 du code monétaire et financier est applicable, à l’exclusion de tout autre régime alternatif de responsabilité découlant du droit national. » Autrement dit, une victime doit contester un paiement dans les 13 mois suivant son exécution pour espérer un remboursement. Des conditions d’indemnisation plus strictes pour les victimes de fraudes bancaires Les clarifications apportées par la Cour de cassation démontrent un renforcement des conditions d’indemnisation en cas de fraude bancaire. Il est donc impératif pour les victimes d’agir rapidement dès qu’elles constatent une anomalie sur leur relevé de compte ou leur application bancaire. Respecter ce délai de 13 mois est essentiel pour préserver ses droits, mais aussi pour éviter d’éventuelles nouvelles fraudes, par exemple en faisant opposition à sa carte bancaire. Dans les deux cas jugés, les victimes n’ont pas été indemnisées car elles avaient agi trop tard. À l’inverse, si le délai de 13 mois avait été respecté, elles auraient pu obtenir un remboursement. La Cour de cassation précise en effet que la banque est tenue de rembourser « au payeur le montant de l’opération non autorisée immédiatement après avoir pris connaissance de l’opération ou après en avoir été informée, et au plus tard à la fin du premier jour ouvrable suivant. » Toutefois, même si le délai de 13 mois est respecté, la banque peut dans certains cas refuser ou différer le remboursement si elle a « de bonnes raisons de soupçonner une fraude de l’utilisateur du service de paiement et si elle communique ces raisons par écrit à la Banque de France. »   Pour en savoir plus sur la fraude bancaire, contacter le 0806110020.  

Mise en conformité du tiers pour la facture électronique

facture électronique

Facture électronique – Le report de la mise en œuvre de la facture électronique offre aux entreprises une occasion précieuse de bien se préparer à cette réforme. En effet, ce délai supplémentaire peut être mis à profit dès à présent pour mettre à jour et enrichir ses bases de données clients. La mise en conformité des clients pour la facture électronique est une étape cruciale pour les entreprises face à l’adoption imminente de cette réforme. En effet, l’importance d’auditer et de mettre à jour les bases de données clients ne saurait être sous-estimée. Ce processus permet d’assurer que les informations soient complètes et exactes, garantissant ainsi la conformité avec les nouveaux modes opératoires et l’utilisation d’un identifiant unique d’adressage fourni par l’Administration fiscale. Audit des Bases de Données Clients La première étape de la mise en conformité consiste en un audit rigoureux des bases de données clients. Cet audit vise à identifier toute donnée manquante ou inexacte, un élément essentiel pour éviter les erreurs de facturation. Par exemple, une absence ou une erreur dans le numéro de TVA intracommunautaire peut entraîner le rejet de la facture, compromettant ainsi les opérations commerciales de l’entreprise. Enrichissement et Correction des Données Après l’audit, il est indispensable d’enrichir et de corriger les données clients. Ce processus peut être complexe, notamment lorsque les entreprises ne disposent que de la raison sociale de leurs clients. La recherche du bon SIREN dans une base de données légale peut être fastidieuse et chronophage, surtout en présence de sociétés homonymes ou de raisons sociales mal saisies. Disposer d’un outil de recherche puissant s’avère alors crucial pour collecter rapidement et de manière fiable les informations nécessaires. Surveillance Continue et Mise à Jour des Données Il est également vital de mettre en place des systèmes de surveillance continue pour maintenir l’intégrité des bases de données. Les modifications des fiches clients doivent être suivies en temps réel afin d’éviter toute désactualisation, particulièrement dans les environnements commerciaux dynamiques. Cette surveillance continue permet de garantir l’exactitude et l’actualité des informations, réduisant ainsi les risques d’erreurs, et donc de rejet de la facture. Prévention de la Fraude Dans le contexte actuel, caractérisé par une recrudescence des incidents de fraude, il est également impératif de protéger les entreprises contre ces risques.  Avec la réforme de la facture électronique, les entreprises françaises devront intégrer des fichiers de facturation directement dans leurs systèmes informatiques. On peut supposer que les fraudeurs mettront à profit cette évolution organisationnelle et technologique pour utiliser des techniques de piratage sophistiquées et modifier les coordonnées bancaires dans les fichiers de factures électroniques ou accéder aux systèmes informatiques des entreprise afin de modifier directement leurs bases de données. Pour les contrer, la surveillance des fournisseurs devient aussi indispensable. Cela implique la mise en œuvre de contrôles continus et rigoureux sur les comptes bancaires des fournisseurs, afin de renforcer la sécurité financière et de prévenir toute tentative de fraude. Solutions et Outils de Conformité Des solutions comme MATA IO proposent des modules spécifiques pour l’audit, l’enrichissement des bases clients et la validation des comptes fournisseurs. Ces outils facilitent le travail des équipes comptables et renforcent la sécurité financière, tout en garantissant la conformité requise pour la facturation électronique. Conclusion La préparation des bases de données pour la facture électronique n’est pas seulement une exigence légale, c’est aussi une mesure prudente pour assurer la pérennité et l’efficacité opérationnelle des entreprises. Il est recommandé d’agir sans délai pour éviter les complications potentielles liées à l’introduction de cette réforme. Pour en savoir plus sur la conformité tiers !

Fraude au virement : comprendre et prévenir les Risques

fraude au virement 2024

Fraude au virement – Les fraudes au virement sont de plus en plus fréquentes, représentant une menace majeure pour les entreprises et les particuliers. La moitié des sinistres survenus en 2023 résultaient d’une fraude par transfert de fonds (FTF) ou d’une compromission du courrier électronique professionnel (BEC). Cet article explore les divers aspects de la fraude au virement, en mettant en évidence les risques et les mesures de prévention essentielles. La prévalence de la Fraude au Virement Pourquoi la Fraude au Virement est-elle si courante ? La fraude au virement, ou FTF, se produit lorsqu’un attaquant réussit à détourner des fonds en intervenant dans les processus de paiement. Selon un rapport de Coalition, les boîtes aux lettres électroniques sont souvent ciblées car elles contiennent des informations de paiement sensibles. « Les acteurs de la menace veulent être payés, et la boîte aux lettres électronique s’est avérée être un endroit facile pour un attaquant de découvrir des informations de paiement et d’intervenir potentiellement dans les processus de paiement pour voler des fonds », explique le rapport. Risques accrus avec certains périphériques Vulnérabilités connues des dispositifs de sécurité Le rapport de Coalition basé sur les données des sinistres déclarés entre le 1er janvier et le 31 décembre 2023 révèle un risque accru pour les organisations utilisant certains dispositifs de sécurité. Par exemple, les entreprises disposant d’appareils Cisco ASA ou Fortinet exposés à l’internet sont beaucoup plus susceptibles de subir un sinistre. Les entreprises disposant d’appareils Cisco ASA exposés étaient presque cinq fois plus susceptibles de faire l’objet d’un sinistre en 2023, tandis que celles disposant d’appareils Fortinet exposés étaient deux fois plus susceptibles. Impact Financier des Fraudes au Virement Perte moyenne et fréquence des sinistres La fréquence globale des sinistres a augmenté de 13 % d’une année sur l’autre, avec une gravité globale en hausse de 10 %. Cela a entraîné une perte moyenne de 100 000 dollars par incident. Les entreprises dont le chiffre d’affaires est compris entre 25 et 100 millions de dollars ont connu la plus forte hausse, avec une augmentation de 32 % de la fréquence des sinistres. Rançongiciels et Fraudes par Transfert de Fonds Augmentation des rançongiciels Alors que les paiements liés aux ransomwares ont atteint un milliard de dollars au niveau mondial, la gravité des ransomwares dans la Coalition a chuté de 54 %. Cependant, la fréquence et la gravité des ransomwares ont continué d’augmenter, avec une perte moyenne de plus de 263 000 dollars. Lorsque les assurés ont estimé qu’il était raisonnable et nécessaire de payer une rançon, Coalition les a aidés à négocier les montants demandés, réduisant en moyenne de 64 % les montants initiaux demandés. Croissance des fraudes par transfert de fonds La fréquence des fraudes par transfert de fonds a augmenté de 15 % par rapport à l’année précédente, avec une gravité augmentée de 24 %, entraînant une perte moyenne de plus de 278 000 $. Dans ce type de fraude, les attaquants parviennent à réacheminer des fonds avant ou pendant un transfert, souvent via des techniques d’ingénierie sociale. Prévenir la Fraude au Virement Sécuriser le courrier électronique Il est crucial de sécuriser les communications par courrier électronique. Les techniques d’ingénierie sociale, comme la mystification de courriels ou la compromission de courriels d’affaires, sont couramment utilisées pour initier des fraudes au virement. Utilisation de protocoles de sécurité renforcés L’utilisation de dispositifs de sécurité tels que les pare-feu et les VPN doit être effectuée avec précaution. Les périphériques doivent être constamment mis à jour pour éviter les vulnérabilités connues qui peuvent être exploitées par les attaquants. Conclusion Les fraudes au virement représentent une menace croissante pour les entreprises de toutes tailles. La clé pour prévenir ces fraudes réside dans la sécurisation des courriers électroniques et l’utilisation prudente des dispositifs de sécurité. En restant vigilant et en mettant en place des mesures de sécurité robustes, les entreprises peuvent réduire leur risque de tomber victime de la fraude au virement. En résumé, la fraude au virement est une menace sérieuse qui nécessite une vigilance constante. En comprenant les méthodes utilisées par les attaquants et en mettant en œuvre des pratiques de sécurité efficaces, les entreprises peuvent mieux se protéger contre cette forme de fraude. Pour en savoir plus sur la fraude au virement, contacter le 0806110020.  

Fraude aux virements bancaires : comment valider un IBAN figurant sur une e-facture ?

fraude aux virements bancaires

La fraude aux virements bancaires est un problème préoccupant pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille ou leur secteur d’activité. Parmi les diverses formes de fraude aux virements bancaires, la plus populaire reste la fraude au faux fournisseur, qui consiste à usurper l’identité d’un fournisseur de l’entreprise, même s’il existe quantité d’autres formes de fraude. Les techniques les plus couramment utilisées pour cette fraude aux virements bancaires (FOVI) comprennent l’usurpation d’identité et l’ingénierie sociale. Les méthodes de contact et d’approche de la victime peuvent varier, mais il est important de noter que les victimes sont souvent touchées de manière indirecte. En effet, lorsqu’une entreprise est victime d’une fraude aux virements, le prochain sur la liste est souvent un client ou un fournisseur de cette entreprise. Cette menace ne connaît pas de frontières, les fraudeurs sont difficiles à identifier et les chances de récupérer les fonds volés sont minimes. Fraude aux virements bancaires : Le contrôle de l’IBAN au cœur du débat ! Pour prévenir la fraude au faux fournisseur, il est essentiel de s’assurer que le compte présenté correspond effectivement à celui du fournisseur, à chaque création ou modification de sa fiche dans la base de données des fournisseurs. Cependant, cette tâche peut s’avérer complexe dans les grandes organisations souvent décentralisées, avec de gros volumes de tiers à gérer. Comment être certain qu’une modification a été apportée aux bases de données et comment vérifier et valider ces changements d’IBAN ? Quels Changements avec la Facture Électronique ? Cette problématique s’étendra également à la facture électronique, qui deviendra obligatoire pour les entreprises à partir de septembre 2026. À partir de cette date, les entreprises françaises devront être en mesure d’intégrer des fichiers de facturation directement dans leurs systèmes informatiques. Dans ce contexte de changement organisationnel et d’évolution des outils informatiques, les fraudeurs utiliseront probablement des techniques encore plus sophistiquées de piratage pour modifier les coordonnées bancaires dans les fichiers de factures électroniques ou pour accéder aux systèmes informatiques des entreprise afin de modifier directement leurs bases de données fournisseurs. Dispositifs de Contrôle Disponibles Il existe néanmoins des pares-feux : des dispositifs permettant de vérifier les coordonnées bancaires fournies par un titulaire de compte à un émetteur de virement. Parmi ces dispositifs, SEPAmail Diamond est une solution bancaire visant à détecter les erreurs de saisie et à lutter contre la fraude aux coordonnées bancaires. SEPAmail Diamond permet notamment de : Détecter les erreurs de saisie en vérifiant la conformité de la structure de l’IBAN. Vérifier l’existence réelle de l’IBAN et s’il correspond à un compte ouvert. S’assurer que l’IBAN correspond bien au titulaire présumé du compte. Une Solution de Sécurité Incontournable En résumé, bien qu’il existe des dispositifs pour tester les comptes fournisseurs, détecter les changements dans les bases de données reste une étape cruciale. C’est là que la solution MATA IO intervient, en détectant en continu tous les ajouts et modifications de tiers, interrogeant automatiquement les dispositifs SEPAmail Diamond ou SIS ID pour valider les nouvelles coordonnées bancaires, et vérifiant systématiquement tous les fichiers de règlement avant leur envoi à la banque. Ainsi, cette procédure devient incontournable et traçable grâce à l’historisation des contrôles effectués. En combinant la solution de sécurité MATA IO avec une base de données, les entreprises peuvent effectuer leurs paiements en toute tranquillité, avec l’assurance que l’IBAN payé correspond bien à celui du fournisseur.   Pour en savoir plus sur la fraude aux virements bancaires, contacter le 0806110020.  

Comment rater son passage à la facturation électronique en trois leçons

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Pour s’assurer de rater son passage à la facturation électronique, il faut procrastiner un peu, ne pas communiquer du tout avec les équipes et surtout ne rien changer à ses méthodes ! MATA présente le guide parfait pour orchestrer un beau fiasco. La facturation électronique, cette révolution tant attendue dans le monde des affaires, laisse certaines entreprises perplexes. Alors que le calendrier de son entrée en vigueur est enfin fixé par la loi de finances 2024, certaines organisations semblent bien décidées à rater le coche. Mais comment faire pour s’assurer de passer à côté de cette opportunité de modernisation ? Voici trois leçons pour rater son passage à la facturation électronique avec brio. Leçon 1 : Attendre, Attendre et encore Attendre le passage à la facturation électronique Qui a dit que la procrastination ne payait pas ? Certainement pas ces entreprises qui préfèrent reporter indéfiniment le chantier de la facturation électronique. Avec un délai supplémentaire de deux années offert par le report de la réforme, pourquoi se presser ? Après tout, qui a le temps de s’informer sur une réforme qui n’aura lieu que dans longtemps ? Pas ces entreprises occupées à d’autres tâches bien plus urgentes, comme la virtualisation des salariés dans le Metaverse. La facture électronique attendra. Leçon 2 : Communiquer ? Pourquoi Faire ? Pourquoi embêter ses collaborateurs avec des informations inutiles sur des obligations lointaines ? Certaines entreprises ont clairement mieux à faire que de perdre leur temps à expliquer l’importance de la facturation électronique à leur équipe. Après tout, qui a besoin de collaborateurs informés et motivés ? Pas ces entreprises qui préfèrent repousser cette corvée à plus tard, et puis à encore plus tard. Après tout, l’ignorance est parfois source de bonheur, du moins jusqu’à ce que l’Administration pointe le bout de son nez. Leçon 3 : Rester dans le passé Pourquoi changer une équipe qui perd ? Ces entreprises ont bien compris que la digitalisation des processus n’était pas pour elles. Pourquoi réduire les délais de paiement quand on peut s’offrir un découvert bancaire ? Pourquoi automatiser les tâches quand on peut s’amuser avec des saisies comptables répétitives ? La facturation électronique ? Une lubie de modernité à laquelle ces entreprises préfèrent résolument tourner le dos. Après tout, pourquoi s’embêter à se moderniser quand on peut continuer à vivre dans un monde fait de fax et de pigeons voyageurs ? En conclusion, rater son passage à la facturation électronique n’est pas aussi facile qu’il n’y paraît. Cela demande du temps, de l’effort et une bonne dose de détermination à rester ancré dans le passé. Mais après tout, qui a dit que l’avenir appartenait à ceux qui se lèvent tôt ? Si en revanche, vous faites plutôt partie de ceux qui préfèrent jouer avec un coup d’avance, venez découvrir nos solutions en cliquant sur : https://mataio-preprod.bubbelcom.com/e-facture/ Pour en savoir plus sur la facture électronique, contacter le 0806110020.  

Comment contrer la fraude interne : Stratégies et Solutions

fraude interne

La fraude interne, un fléau souvent sous-estimé, se révèle être une menace sérieuse pour les entreprises et les organisations. Mais qu’est-ce que la fraude interne exactement ? Il s’agit d’actes malhonnêtes perpétrés à l’encontre d’une entreprise ou d’une organisation par ses propres membres, qu’il s’agisse d’employés, de cadres ou de partenaires d’affaires. Ces actes peuvent prendre diverses formes, telles que le détournement de fonds, les transactions financières trompeuses, le vol de liquidités ou même la falsification de documents. Parmi les formes les plus courantes de fraude interne, on retrouve également la fraude aux achats, le vol d’informations confidentielles et la fraude salariale. Les Impacts de la Fraude Interne : Les conséquences de la fraude interne sont multiples et souvent dévastatrices. Tout d’abord, il y a les pertes financières directes, résultant du vol d’argent ou d’actifs de l’entreprise. Ces pertes peuvent parfois compromettre sérieusement la santé financière de l’entreprise. En outre, la fraude interne peut causer des dommages considérables à la réputation de l’entreprise. Si elle est révélée au grand jour, elle peut entacher la confiance des clients, partenaires et actionnaires, ce qui peut avoir des répercussions à long terme sur les affaires. De plus, la fraude interne nécessite généralement une enquête approfondie, perturbant ainsi les opérations normales de l’entreprise et entraînant une baisse de productivité significative. Bonnes Pratiques pour Prévenir la Fraude Interne : Pour contrer efficacement la fraude interne, il est impératif que les dirigeants donnent l’exemple en matière d’éthique et d’intégrité. Un code de conduite clair et bien communiqué à tous les employés est essentiel. De plus, il est nécessaire de développer et de maintenir un système de contrôles internes solides pour surveiller les activités financières, en veillant notamment à la séparation des tâches et à la validation quatre yeux. Dispositifs de Lutte contre la Fraude : Pour renforcer les mesures de lutte contre la fraude, l’utilisation de logiciels de sécurité spécialisés comme MATA IO va s’avérer très efficace. Ces outils sont conçus pour détecter les comportements suspects, tels que des paiements trop fréquents, des montants anormalement élevés ou des comptes qui reviennent trop fréquemment. MATA IO permet d’automatiser les processus de surveillance, rendant ainsi les contrôles plus rigoureux et surtout incontournables.   En conclusion, pour protéger efficacement leur entreprise contre la fraude interne, les dirigeants doivent adopter une approche proactive, en mettant en place des mesures de sécurité robustes, mais aussi en utilisant des outils technologiques adaptés pour détecter et prévenir les actes de fraude. Contactez MATA pour en savoir plus

Facture Electronique : la DGFIP prend la parole

facture électronique - la DGFIP prend la parole

Plongez au cœur de la transformation numérique avec le webinar sur la facture électronique coanimé par MATA IO et la DGFIP. Découvrez les enjeux, le calendrier d’implémentation, et les outils disponibles pour naviguer avec succès dans cette évolution majeure. Cet article offre un aperçu complet sur la transition vers la facture électronique, soulignant l’importance de la préparation pour les entreprises de toutes tailles. Introduction à la Facture Électronique Le 21 mars dernier, un évènement significatif s’est tenu : un webinar dédié à la facture électronique, coanimé par MATA IO et la Direction Générale des Finances Publiques (DGFIP). Mmes SADRANI et MOGENTHALER-PARISE ont présenté les principes de la réforme, les entreprises concernées, le calendrier d’implémentation, et les outils et ressources disponibles pour accompagner les sociétés dans ce virage numérique crucial. La Méconnaissance des PME-TPE Après une petite vidéo introductive, elles ont révélé une réalité surprenante : une majorité de PME-TPE ne savent pas ce qu’est une facture électronique, la réduisant à une simple facture envoyée par email. Un sondage CSA pour REGATE indique que 75% des PME interrogées font cette confusion, tandis que 94% ne considèrent pas cette réforme une priorité. Calendrier d’Implémentation de la Réforme Rappelons que la réforme entre en vigueur dès septembre 2026, puisque toutes les entreprises soumises à la TVA devront être en mesure de recevoir une facture électronique à cette date. E-Invoicing et E-Reporting : Les Nouveaux Standards Les transactions entre entreprises françaises seront désormais encadrées par ce nouveau système de facture électronique aussi appelé e-invoicing, tandis que les échanges avec les particuliers et à l’international seront soumis à une obligation de transmission des données à postériori, appelée e-reporting. Les 2 dispositifs impliquant l’envoi des données de transaction à un portail de facturation, qu’il soit public (PPF) ou privé (PDP). Ce portail aura pour mission de contrôler la qualité des données, d’assurer l’acheminement des factures, et de vérifier leur conformité fiscale. Formats de Facture Électronique et Obligations Trois formats de factures ont été homologuées par l’Administration fiscale : deux formats XML, UBL et CII, et un format mixte, FACTUR X, associant un fichier UBL à un PDF. Dès septembre 2026, les grandes entreprises et les ETI devront émettre leurs factures dans l’un de ces formats, une exigence qui s’étendra aux PME-TPE un an plus tard. En revanche, l’obligation de réception est la même pour tout le monde : dès septembre 2026, l’ensemble des entreprises, y compris les PME-TPE devront être en mesure de lire et d’intégrer les trois formats, puisque ce n’est pas le client qui choisit le format de la facture émise. Outre ces problématiques de formats, les entreprises devront s’assurer de disposer des données obligatoires de la facture électronique et s’assurer qu’elles sont justes, sous peine de voir leurs factures rejetées par le portail. Un gros travail de mise en conformité des bases clients doit être effectué sans plus attendre pour démarrer la phase de test prévue par le PPF dans le cadre du Pilote Facturation Electronique. Outils et Ressources pour les Entreprises Face à ces défis, la DGFIP a mis en place une palette d’outils pour préparer les entreprises : quizz, dépliants, fiches informatives… Ces ressources visent à éclairer les entrepreneurs sur les étapes à suivre pour une transition réussie. Solutions MATA IO pour la Facture Électronique Pour réaliser les opérations de mise en conformité, de production et de réception des factures électroniques, la gamme MATA IO offre des solutions modulaires. Forte de son expérience dans le domaine du contrôle et de l’enrichissement des tiers mais aussi de la dématérialisation des flux, MATA IO, membre du Pilote Facturation électronique, propose des solutions flexibles, expertes et évolutives qui permettront aux entreprises de faire face à ce challenge majeur. Pour en savoir plus sur la facture électronique

Loi de facturation : Les entreprises françaises soumises à la TVA auront 12 mois pour s’y plier

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Loi de facturation : Dans le paysage entrepreneurial français, l’obligation de transition vers la facturation électronique marque une évolution significative, dictée par la loi de Finances 2020. D’ici au 1er septembre 2026, toutes les entités assujetties à la TVA devront avoir adopté ce système, amorçant ainsi un virage important vers le numérique. Cet article, initialement publié par Quentin Périnel le 12 mars 2024, plonge au cœur de cette mutation en s’appuyant sur un événement marquant qui a réuni plus de 2000 acteurs au Palais Brongniart à Paris.   Loi de facturation : l’aube d’une révolution digitale Lors de la journée dédiée à la facturation électronique, la JFE2024, l’attention s’est portée sur l’impératif de la dématérialisation des factures. Cette initiative, qui s’inscrit dans la transition vers une économie « zéro papier », est loin d’être anecdotique. Elle soulève un débat crucial sur la préparation des entreprises françaises à ce changement majeur. Une enquête réalisée par OpinionWay pour Quadient apporte un éclairage sur la disposition des entreprises face à cette évolution. Loi de facturation : Entre disparités et adaptation Les résultats de l’enquête révèlent une diversité dans l’adoption des pratiques de dématérialisation. Près de la moitié des entreprises françaises ont déjà intégré la facturation électronique dans leurs processus financiers, soulignant une prise de conscience significative. Cependant, l’adoption des formats numériques ne se traduit pas nécessairement par une conformité aux exigences légales à venir. En effet, 83% des entreprises n’emploient pas encore les formats spécifiés par la loi, tels que l’EDI, le XML, l’UBL, et le CII, privilégiant plutôt l’usage du PDF simple ou la facturation papier. Les grandes entreprises en avant-garde Il est intéressant de noter que les structures de plus de 50 employés, notamment les ETI et les grands groupes, montrent une avancée notable dans ce domaine. Une majorité d’entre elles ont déjà engagé ou sont en cours d’implémentation de processus de facturation électronique, tant pour leurs fournisseurs que pour leurs clients. Malgré cette avance, le courrier électronique demeure le canal privilégié pour l’envoi des factures, devant les plateformes dédiées. Défis et perspectives La transition vers la facturation électronique ne va pas sans défis. Les entreprises se heurtent à des obstacles liés à leur écosystème, incluant des clients et fournisseurs encore réticents ou non équipés pour s’aligner sur ces nouvelles normes. La simplification et l’automatisation apportées par la facturation électronique sont indéniables une fois le système en place, mais la route vers une adoption universelle s’annonce complexe. Il est impératif que tous les acteurs du marché s’engagent dans cette transformation pour que l’écosystème entrepreneurial français puisse pleinement bénéficier des avantages de la facturation électronique. La loi de Finances 2020 n’est pas seulement un cadre réglementaire à respecter ; elle représente une opportunité d’accélérer la digitalisation des entreprises françaises, favorisant ainsi une économie plus durable et efficiente. En somme, la réunion de plus de 2000 personnes au Palais Brongniart à Paris pour discuter de la facturation électronique témoigne de l’importance et de l’urgence de ce sujet. Avec une échéance fixée au 1er septembre 2026, les entreprises françaises ont un délai de 12 mois pour se conformer à cette nouvelle loi, un défi qui nécessitera à la fois adaptation et collaboration entre tous les acteurs concernés. Pour en savoir plus sur la loi de facturation