Vérification des virements : ce qui change à partir d’octobre 2025

Vérification des virements – À partir du 9 octobre 2025, une nouvelle obligation entre en vigueur pour les banques : elles devront proposer, gratuitement, un service de vérification de la concordance entre l’IBAN et le nom ou l’identification du bénéficiaire avant la validation d’un virement. En quoi consiste cette vérification des virements ? Ce contrôle intervient entre la saisie des informations par l’émetteur et la validation du virement. Il s’agit d’un dispositif destiné à renforcer la sécurité des paiements, en luttant contre les fraudes aux virements (notamment celles fondées sur l’usurpation d’identité bancaire). Cependant, ce service présente des limites qu’il faut connaître : Il est principalement adapté aux virements instantanés, unitaires et ponctuels.es et actualisées est essentiel pour négocier avec vos partenaires bancaires et financiers en toute confiance. Il ne s’appliquera pas aux fichiers d’ordres multiples signés, via EBICS TS par exemple, ce qui exclut une grande partie des paiements massifs. Quels résultats peut-on attendre de cette vérification des virements ? Le retour de la banque pourra prendre quatre formes : ✅ Match : concordance totale. ❌ No Match : pas de concordance. ⚠️ Close Match : concordance partielle. ❓ Vérification impossible : lorsque l’identification ne peut être confirmée. Cette vérification repose sur la dénomination sociale, un critère parfois flou ou mal renseigné, ce qui risque d’engendrer de nombreuses incertitudes et des rejets injustifiés. Un dilemme pour les entreprises cette vérification des virements Face à cette nouvelle vérification bancaire, les entreprises devront faire un choix délicat : Activer le service de vérification et s’exposer à des rejets massifs (parfois infondés), qui peuvent désorganiser les paiements. Renoncer au service et accepter un niveau de risque accru de fraude. Dans les deux cas, la gestion des paiements devient plus complexe et nécessite des prises de décision rapides, parfois dans l’urgence. Une solution plus fiable : le contrôle des IBAN en amont Une solution adaptée aux petites entreprises : découvrez MATA IO Pour sécuriser efficacement les virements sans subir de blocages, il est recommandé d’utiliser un logiciel de vérification des IBAN, comme MATA IO. Cette solution permet : d’éviter les rejets de dernière minute, en validant les coordonnées en amont du paiement ; de sécuriser les virements à destination de bénéficiaires hors Europe, non couverts par la vérification bancaire obligatoire. En conclusion La vérification bancaire obligatoire est une avancée, mais elle ne couvre qu’une partie des besoins réels des entreprises. Pour garantir des paiements fiables, sans blocages ni mauvaises surprises, le contrôle des coordonnées bancaires doit s’effectuer en amont — avec des outils adaptés, complets et compatibles avec tous les formats de paiement. Accessible, intuitive et performante, MATA IO est une solution pensée pour accompagner les entreprises dans leur gestion financière, tout en leur offrant des outils habituellement réservés aux grandes structures. 👉 Envie d’en savoir plus sur la solution MATA IO ? Contactez-nous dès maintenant pour échanger sur vos besoins.
Facturation électronique : 6 mois pour nettoyer et enrichir ses bases clients, 1 an pour être prêt

Facturation électronique – L’échéance approche : à partir de septembre 2026, toutes les entreprises assujetties à la TVA en France devront être en mesure d’émettre et de recevoir des factures dématérialisées. Pour éviter des rejets de facture et des retards de paiement, la fiabilisation des données clients est indispensable. Objectif : en 6 mois, structurer, nettoyer et enrichir les données clients et fournisseurs. Dès septembre 2025, collecter les informations d’adressage de ses clients pour une facturation électronique sans accroc. 1. Un enjeu clé : des données clients précises et fiables Chaque facture devra contenir des informations précises pour être acceptée par les plateformes de dématérialisation, notamment : Le SIREN : identifiant unique de l’entreprise. Le numéro de TVA intracommunautaire : obligatoire pour les transactions en Europe. L’identifiant d’adressage : choisi par le client, qui peut comporter un SIRET (identifiant de l’établissement) . Une information erronée ou absente peut entraîner le rejet des factures, des retards de paiement et des problèmes de conformité fiscale. 2. Nettoyer ses bases de données : une priorité absolue Un audit rigoureux des bases clients et fournisseurs est indispensable pour repérer et corriger les erreurs. Ce travail comprend : Vérification des SIREN, SIRET et numéros de TVA. Élimination des doublons et des fiches obsolètes. Complétion des données manquantes pour garantir une facturation fluide. Un référentiel client propre et à jour est une condition sine qua non pour assurer une transition en douceur vers la facturation électronique. 3. Enrichir ses bases avec des outils adaptés Des solutions existent pour automatiser cette collecte et fiabiliser les données : Accès aux bases officielles (INSEE, VIES…). Vérification et récupération automatique des informations légales des entreprises. Mise à jour continue des données clients et fournisseurs. L’enrichissement des bases ne doit pas être un travail ponctuel, mais un processus continu. Il est essentiel de suivre les évolutions des entreprises partenaires (changement de raison sociale, de siège social, radiation…) pour éviter toute mauvaise surprise. 4. Structurer son adressage et collecter les identifiants de facturation Dès septembre 2025, l’annuaire centralisé de la facturation électronique sera disponible, pour répertorier les données d’adressage des entreprises. A cette date, les entreprises devront idéalement avoir arrêté leurs codes d’adressage (SIREN, SIRET ou SIREN SUFFIXE), mais aussi commencé à collecter les adresses électroniques de facturation de leurs clients. Pourquoi anticiper cette collecte ? Éviter les retards : une adresse mal renseignée peut bloquer la transmission des factures et retarder les paiements. Garantir la conformité : l’identifiant d’adressage sera probablement une donnée obligatoire sur la facture. Comment bien préparer cette collecte ? Communiquer avec les clients pour expliquer la démarche et obtenir leur coopération. Mettre en place un processus de validation pour s’assurer que les adresses collectées sont correctes et opérationnelles. Utiliser des outils automatisés pour centraliser, mettre à jour et sécuriser ces informations en continu. 5. Les bons outils pour une mise en conformité efficace Des solutions spécialisées, comme MATA IO, facilitent l’audit, l’enrichissement et la mise à jour des bases de données. Ces outils permettent de : Automatiser la validation des informations clients et fournisseurs. Assurer la conformité du référentiel dans le temps, sans effort manuel excessif. Sécuriser les transactions et prévenir les fraudes liées à la facturation électronique. Conclusion : 6 mois pour fiabiliser les données, 1 an pour être prêt à la facturation électronique Le passage à la facturation électronique impose aux entreprises une organisation rigoureuse de leurs données. L’anticipation est la clé d’une transition fluide. Les entreprises qui agissent dès aujourd’hui vont s’éviter bien des complications en 2026.
ISO 20022 ou facturation électronique : quelle priorité pour les services informatiques ?

Dans les prochains mois, les services informatiques auront deux gros chantiers à mener : la facture électronique et le changement de format bancaire ISO 20022. En effet, les services informatiques des entreprises vont devoir faire face à 2 réformes de fond concomitantes : d’un côté, la généralisation de la facture électronique à partir de septembre 2026, et de l’autre, la migration des formats bancaires vers la norme ISO 20022, dont l’échéance approche à grands pas, dès novembre 2025. Alors, par quoi commencer ? Un calendrier qui met la pression La norme ISO 20022 a commencé à être déployée dès novembre 2022 au niveau mondial. Cette nouvelle norme s’impose progressivement dans les échanges bancaires internationaux, avec une généralisation attendue pour novembre 2025. En parallèle, la réforme de la facturation électronique deviendra obligatoire pour toutes les entreprises à compter de septembre 2026. Deux évolutions structurantes, à quelques mois d’intervalle, qui mobilisent fortement les équipes IT. Quels impacts pour les entreprises ? Les entreprises connaissent déjà les formats SEPA, utilisés pour les virements et les prélèvements. Mais avec ISO 20022, on passe à un niveau supérieur : cette norme introduit des messages XML beaucoup plus riches, structurés et exigeants, visant à améliorer la qualité et la rapidité des échanges de données bancaires. Des impacts sur les formats des fichiers de règlement Virements SEPA : le format actuel pain.001.001.02 sera remplacé par pain.001.001.03 ou même pain.001.001.09. Prélèvements : introduction du nouveau format pain.008.001.02. Virements internationaux : le traditionnel CFONB 320 cède la place à l’ISO 20022 XML. Mais aussi des exigences de données plus strictes Avec ISO 20022, les informations à fournir sont plus détaillées, notamment pour les paiements transfrontaliers ou de montants importants. Par exemple, les adresses des bénéficiaires devront être complètes, structurées et réparties en jusqu’à seize champs distincts (rue, numéro, ville, code postal, etc.). Ce niveau de détail peut poser problème : de nombreux systèmes d’information ne sont pas encore prêts à stocker ou restituer ces données dans ce format. Et les conséquences peuvent être sévères : un paiement non conforme pourrait tout simplement être rejeté. Des outils pour accompagner la transition Face à ces défis, les entreprises ne sont pas seules. Plusieurs solutions existent pour faciliter la transition : Le guide du CFONB, qui détaille les nouveaux formats et la structure des adresses à respecter. Des outils de conversion, proposés notamment par des spécialistes comme MATA IO, qui permettent de produire les bons formats XML en attendant que les systèmes internes soient mis à jour. Conclusion : deux chantiers, une même urgence Si la migration vers la norme ISO 20022 reste avant tout une évolution de format, elle n’en nécessite pas moins une bonne préparation pour s’assurer que les systèmes puissent émettre leurs règlements aux nouveaux formats. La réforme de la facture électronique, quant à elle, implique des changements plus profonds dans les processus comptables et fiscaux. Pour les équipes informatiques, ces deux projets mobilisent des ressources similaires, sur une période resserrée. Certaines entreprises choisiront de traiter en priorité la conformité bancaire, dont l’échéance arrive plus tôt. D’autres s’appuieront sur des solutions transitoires, comme MATA IO, pour franchir l’étape ISO 20022 sans attendre une refonte complète du système d’information. Dans tous les cas, l’anticipation est la clé : c’est maintenant qu’il faut planifier les priorités pour éviter une surcharge ou un risque de non-conformité.
L’annuaire centralisé : un pilier stratégique de la réforme de la facturation électronique

Facturation électronique – À l’approche de l’entrée en vigueur de la réforme de la facturation électronique en France, en prévue pour septembre 2026, un composant technique attire une attention croissante : l’annuaire centralisé. Ce registre, en production dès juin 2025, jouera un rôle fondamental dans le bon acheminement des factures électroniques entre entreprises. Encore méconnu, son fonctionnement mérite d’être clarifié. Un rôle clé dans le circuit de la facturation électronique L’annuaire est un système d’adressage conçu pour garantir que chaque facture électronique parvienne à la bonne destination, c’est-à-dire à la Plateforme de Dématérialisation Partenaire (PDP) du client. Il ne s’agit pas d’un simple répertoire d’e-mails, mais d’un outil structurant destiné à automatiser l’envoi sécurisé des flux de facturation. Comment fonctionne-t-il ? Les entreprises réceptrices doivent déclarer une ou plusieurs lignes d’adressage électroniques, via leur PDP. Ces lignes ne sont pas des adresses e-mail classiques, mais des identifiants techniques comme le SIREN, SIRET, le code routage ou un suffixe associé à un SIREN qui permettent de rediriger les factures. Les entreprises émettrices accèdent à l’annuaire pour rechercher les adresses électroniques de leurs clients et les intégrer dans les champs spécifiques de la facture. La PDP émettrice se sert de cette ligne d’adressage pour transmettre la facture à la bonne PDP de réception. Point important : l’entreprise émettrice n’aura pas accès directement à l’identifiant de la PDP de son client. L’annuaire, qui regroupera toutes les informations d’identification à un seul endroit assure une couche d’abstraction entre les acteurs pour sécuriser et centraliser le flux. Un déploiement progressif dès juin 2025 Face à l’impatience des entreprises et des éditeurs de logiciels, l’administration a confirmé que l’annuaire serait mis en production en juin 2025 et mis à disposition des entreprises en septembre, avec une version initiale (V0) comprenant toutes les entreprises assujetties à la TVA. Les premières données s’appuieront sur un niveau d’adressage par défaut basé sur le SIREN, garantissant une couverture minimale de l’ensemble des entités. Par la suite, l’annuaire s’enrichira progressivement grâce aux déclarations actives des entreprises souhaitant affiner leur niveau d’adressage. Ce que doivent prévoir les entreprises Pour bénéficier pleinement du dispositif, notamment en tant qu’entreprise réceptrice, plusieurs conditions sont à remplir : – S’inscrire auprès d’une PDP reconnue. – Structurer et déclarer ses lignes d’adressage. Les entreprises émettrices quant à elles vont devoir collecter les lignes d’adressage de leurs clients et les stocker dans leur système d’information. Ces démarches permettront à l’entreprise de produire et de recevoir des factures conformes à la réforme via un circuit automatisé et fiable. Une réussite conditionnée par l’implication de tous Si l’annuaire suscite un intérêt croissant, son efficacité dépendra directement du niveau de participation des entreprises réceptrices. Sans déclaration explicite de leurs lignes d’adressage, les envois de factures resteront limités au niveau par défaut, ce qui pourrait ralentir ou complexifier les échanges. L’implication active des entreprises est donc indispensable pour faire de cet annuaire le cœur opérationnel de la nouvelle architecture de facturation électronique en France. 📞 Contactez-nous dès maintenant au 0 806 110 020 (appel non surtaxé)
Facture électronique : êtes-vous vraiment prêt pour la réforme ?

Facture électronique – La réforme de la facture électronique approche à grands pas. Et contrairement à certaines idées reçues, toutes les entreprises sont concernées. Un changement de fond, pas juste une mise à jour technique Ce nouveau cadre réglementaire vise à généraliser l’échange de factures électroniques via des plateformes agréées et à renforcer les obligations de transmission des données à l’administration fiscale. Objectif : simplifier la vie des entreprises… à condition d’être bien préparé. Mais derrière ce grand changement se cachent des impacts concrets sur votre organisation : Vos processus de facturation devront être repensés Vos outils devront être compatibles avec le nouveau format Vos équipes devront être formées Et surtout : vous devrez être prêts dans les délais. Où en êtes-vous vraiment ? Voici 4 questions simples – mais cruciales – à vous poser : Avez-vous identifié tous vos cas de facturation ? (clients B2B, B2C, secteur public…) Vos données clients sont-elles fiables et complètes ? Vos systèmes (ERP, comptabilité, CRM…) sont-ils techniquement compatibles avec les exigences à venir ? Avez-vous établi un plan d’action concret pour réussir votre mise en conformité ? Si vous répondez “non” ou “pas encore” à l’une d’entre elles, il est temps de vous faire accompagner. Un audit pour y voir clair Nous vous proposons un audit ciblé réalisé par l’un de nos experts. Son but : Faire le point sur votre situation actuelle Identifier les points de vigilance et les risques potentiels Vous remettre une feuille de route claire, adaptée à votre entreprise, pour être en conformité dans les temps 💼 Tarif de l’audit : 1 200 € HT 🔥 Offre spéciale : -15% pour toute commande passée avant le 15 juillet 📅 N’attendez pas le dernier moment Les délais de mise en conformité seront courts pour les entreprises. Anticiper, c’est se donner le temps de faire les bons choix, sans pression. 📞 Contactez-nous dès maintenant au 0 806 110 020 (appel non surtaxé)
Facturation électronique 2026 : 6 mois pour nettoyer et enrichir ses bases clients, 1 an pour être prêt

Facturation électronique – L’échéance approche : à partir de septembre 2026, toutes les entreprises assujetties à la TVA en France devront être en mesure d’émettre et de recevoir des factures dématérialisées. Pour éviter des rejets de facture et des retards de paiement, la fiabilisation des données clients est indispensable. Objectif : en 6 mois, structurer, nettoyer et enrichir les données clients et fournisseurs. Dès septembre 2025, collecter les informations d’adressage de ses clients pour une facturation électronique sans accroc. Un enjeu clé : des données clients précises et fiables Chaque facture devra contenir des informations précises pour être acceptée par les plateformes de dématérialisation, notamment : Le SIREN : identifiant unique de l’entreprise. Le numéro de TVA intracommunautaire : obligatoire pour les transactions en Europe. L’identifiant d’adressage : choisi par le client, qui peut comporter un SIRET (identifiant de l’établissement) . Une information erronée ou absente peut entraîner le rejet des factures, des retards de paiement et des problèmes de conformité fiscale. Nettoyer ses bases de données : une priorité absolue Un audit rigoureux des bases clients et fournisseurs est indispensable pour repérer et corriger les erreurs. Ce travail comprend : ✅ Vérification des SIREN, SIRET et numéros de TVA. ✅ Élimination des doublons et des fiches obsolètes. ✅ Complétion des données manquantes pour garantir une facturation fluide. Un référentiel client propre et à jour est une condition sine qua non pour assurer une transition en douceur vers la facturation électronique. Enrichir ses bases avec des outils adaptés Des solutions existent pour automatiser cette collecte et fiabiliser les données : Accès aux bases officielles (INSEE, VIES…). Vérification et récupération automatique des informations légales des entreprises. Mise à jour continue des données clients et fournisseurs. L’enrichissement des bases ne doit pas être un travail ponctuel, mais un processus continu. Il est essentiel de suivre les évolutions des entreprises partenaires (changement de raison sociale, de siège social, radiation…) pour éviter toute mauvaise surprise. Structurer son adressage et collecter les identifiants de facturation Dès septembre 2025, l’annuaire centralisé de la facturation électronique sera disponible, pour répertorier les données d’adressage des entreprises. A cette date, les entreprises devront idéalement avoir arrêté leurs codes d’adressage (SIREN, SIRET ou SIREN SUFFIXE), mais aussi commencé à collecter les adresses électroniques de facturation de leurs clients. Pourquoi anticiper cette collecte ? ✔ Éviter les retards : une adresse mal renseignée peut bloquer la transmission des factures et retarder les paiements. ✔ Garantir la conformité : l’identifiant d’adressage sera probablement une donnée obligatoire sur la facture. Comment bien préparer cette collecte ? ✅ Communiquer avec les clients pour expliquer la démarche et obtenir leur coopération. ✅ Mettre en place un processus de validation pour s’assurer que les adresses collectées sont correctes et opérationnelles. ✅ Utiliser des outils automatisés pour centraliser, mettre à jour et sécuriser ces informations en continu. Les bons outils pour une mise en conformité efficace Des solutions spécialisées, comme MATA IO, facilitent l’audit, l’enrichissement et la mise à jour des bases de données. Ces outils permettent de : ✅ Automatiser la validation des informations clients et fournisseurs. ✅ Assurer la conformité du référentiel dans le temps, sans effort manuel excessif. ✅ Sécuriser les transactions et prévenir les fraudes liées à la facturation électronique. Conclusion : 6 mois pour fiabiliser les données, 1 an pour être prêt à la facturation électronique Le passage à la facturation électronique impose aux entreprises une organisation rigoureuse de leurs données. L’anticipation est la clé d’une transition fluide. Les entreprises qui agissent dès aujourd’hui vont s’éviter bien des complications en 2026. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.
Pourquoi est-il difficile de contrôler un virement ?

Contrôler un virement – Le contrôle des virements est devenu une préoccupation majeure pour les entreprises, à la fois pour se prémunir contre la fraude et pour éviter les erreurs humaines susceptibles de perturber les paiements. Cependant, ce processus reste complexe en raison des limites des systèmes de paiement actuels. Les enjeux de contrôler un virement Assurer le contrôle des bénéficiaires dans le cadre des virements est crucial pour : Prévenir la fraude : les escroqueries ciblant les coordonnées bancaires, telles que la fraude au président ou au changement de RIB, sont en forte augmentation. Éviter les erreurs de saisie : une simple faute de frappe dans les informations d’un bénéficiaire peut entraîner la non-exécution d’un paiement. Pour garantir la sécurité d’un virement, il est nécessaire de vérifier que le bénéficiaire correspond au compte bancaire renseigné. Cependant, plusieurs obstacles rendent ce contrôle difficile. Les limitations des systèmes actuels pour contrôler un virement 1. Informations limitées dans les formats de paiement Dans les formats modernes de transactions tels que l’ISO 20 022 (qui inclut les virements SEPA et les virements internationaux), seules deux informations sont obligatoires pour identifier un bénéficiaire : La dénomination du bénéficiaire (nom ou raison sociale). L’identifiant bancaire du compte à payer (IBAN). Cette simplification, bien que pratique pour les paiements rapides, complique le contrôle, car : Il n’existe pas de champ obligatoire pour un identifiant formel tel qu’un numéro SIREN, un numéro de TVA, un LEI ou un DUNS pour les entreprises internationales. Dans le cas des particuliers, seuls le nom et le prénom, souvent regroupés dans un seul champ, sont renseignés, rendant les rapprochements encore plus complexes. 2. Données incomplètes et non fiables Les bases de données des entreprises, qu’il s’agisse d’un ERP ou d’un logiciel de comptabilité, sont souvent incomplètes ou non mises à jour. Cela se traduit par : Des erreurs dans les noms des bénéficiaires. Des informations manquantes sur les identifiants formels. 3. Le Name Matching : une méthode imparfaite En l’absence d’identifiants clairs, la seule solution pour rapprocher un bénéficiaire d’un compte bancaire repose sur le Name Matching, c’est-à-dire une comparaison des noms ou raisons sociales. Mais cette méthode pose problème : Les dénominations ne sont pas toujours exactes (abréviations, erreurs de transcription, etc.). Les bases de données des tiers sont rarement homogènes ou synchronisées avec les systèmes de paiement. Les perspectives pour améliorer le contrôle des virements De nouveaux dispositifs, tels que la VoP (Verification of Payee) pour les virements SEPA, visent à renforcer la sécurité des transactions. Cependant, leur mise en œuvre reste limitée car leur adoption par les entreprises nécessiterait des changements majeurs dans la gestion des paiements et leur transmission aux banques. Une solution efficace : Mata IO Sécurité Pour répondre à ces défis, des solutions innovantes comme Mata IO Sécurité permettent de : S’appuyer sur une base de tiers pré-complétée et sécurisée pour garantir la fiabilité des informations. Intégrer un contrôle automatisé des fichiers de paiement avant leur transmission. Réduire les risques d’erreurs et de fraudes grâce à des mécanismes avancés de vérification des IBAN et des bénéficiaires. En conclusion pour contrôler un virement Contrôler un virement est une tâche complexe en raison des limites des fichiers de paiement actuels et des bases de données souvent imparfaites. Cependant, des solutions comme Mata IO Sécurité offrent une réponse adaptée en associant des données fiables à des outils de contrôle performants. En intégrant ce type de solution, les entreprises peuvent sécuriser leurs paiements, gagner en efficacité et réduire leur exposition aux risques. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.
PDP & OD : Une combinaison gagnante pour une facturation électronique fluide et conforme

Facturation électronique – Face aux nouvelles obligations de la facture électronique, deux acteurs jouent un rôle clé : les Opérateurs de Dématérialisation et les Plateformes de Dématérialisation Partenaires. Loin d’être en concurrence, ils se complètent pour garantir un traitement efficace et conforme des factures. E-invoicing et E-reporting : Une révolution dans la gestion des factures La digitalisation des échanges commerciaux s’accélère, et avec elle, la nécessité pour les entreprises d’adopter de nouveaux standards en matière de facturation. La réforme repose sur deux principes fondamentaux : L’e-invoicing (facturation électronique) : Il impose aux entreprises d’émettre et de recevoir leurs factures dans un format structuré pour les transactions B2B nationales. L’objectif principal ? Renforcer la lutte contre la fraude et optimiser la collecte de la TVA. L’e-reporting (transmission des données de transaction) : Cette obligation implique la transmission à l’administration fiscale des informations relatives aux transactions commerciales B2C et B2B internationales Ces nouvelles obligations nécessitent la mise en place de solutions adaptées, combinant expertise technique et conformité réglementaire. OD et PDP : Un duo incontournable Dans ce nouvel écosystème, on distingue deux acteurs aux rôles complémentaires : Les Opérateurs de Dématérialisation (OD) Ils interviennent sur le traitement des factures avant leur transmission à la PDP. Leur mission consiste à : – Enrichir les données des factures en y ajoutant des informations spécifiques. – Transformer les formats pour assurer leur compatibilité avec les standards en vigueur (Factur-X, CII, UBL, etc.). – Automatiser les transmissions et l’intégration comptable. Les Plateformes de Dématérialisation Partenaires (PDP) Agrémentées par l’État, les PDP sont responsables de la transmission des factures aux services fiscaux. Elles garantissent : – Le respect des exigences réglementaires en contrôlant la conformité des factures. – La sécurisation des échanges grâce au chiffrement et à des protocoles de transmission robustes. – L’archivage légal des documents, assurant leur accessibilité sur une période de 10 ans. Plutôt que de choisir entre l’un ou l’autre, l’association d’un OD et d’une PDP est la solution idéale pour une gestion efficace et conforme des factures. Une solution tout-en-un pour simplifier la facturation électronique L’adoption d’une solution combinant PDP et OD permet aux entreprises de couvrir l’ensemble du cycle de vie de la facture, de la production à la transmission, jusqu’au paiement et la comptabilisation automatique des flux. Concrètement, cela signifie : – Une structuration et une vérification optimisées des données clients pour éviter les erreurs et les rejets de factures. – Une transformation et un formatage automatiques des factures dans les normes requises. – Une transmission conforme et fluide, que ce soit pour les transactions B2B, B2C ou B2G. – Une comptabilisation des flux automatisée, réduisant le temps consacré aux tâches administratives. Cette approche simplifie considérablement la gestion des factures, tout en garantissant un respect strict des obligations légales. Un accompagnement sur mesure : clé d’une transition réussie Adopter une nouvelle solution, qu’il s’agisse de la facturation électronique ou de tout autre outil numérique, ne se limite pas à une simple mise en place technique. C’est une transformation qui impacte l’ensemble des processus d’une entreprise, de la gestion administrative à la comptabilité, en passant par les interactions avec les clients et fournisseurs. Sans un accompagnement adapté, cette transition peut s’avérer complexe, voire source de dysfonctionnements. Un accompagnement personnalisé permet d’adapter la solution aux besoins spécifiques de l’entreprise et d’assurer une adoption progressive et maîtrisée. Il repose sur plusieurs piliers essentiels : – Une analyse approfondie des besoins pour définir la solution la plus adaptée. – Une intégration fluide avec les outils existants (ERP, logiciels comptables, etc.) pour éviter toute rupture opérationnelle. – La formation des équipes pour assurer une adoption rapide et efficace. En bénéficiant d’un accompagnement sur mesure, une entreprise réduit les risques liés à la transition et sécurise ses processus. Conclusion sur la facturation électronique : un levier stratégique pour les entreprises La facturation électronique, souvent vécue comme une contrainte forte dans les entreprises, est aussi une opportunité pour moderniser leur gestion administrative. En combinant OD et PDP dans une solution intégrée, les entreprises vont sécuriser leurs transactions, réduire les erreurs et optimiser leur productivité. En optant pour une solution tout-en-un, vous choisissez une transition fluide, conforme et sans friction, avec un gain de temps considérable dans la mise en production de ce projet. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.
Comment sécuriser ses factures électroniques ?

Factures électroniques – La facturation électronique devient une pratique incontournable, notamment avec l’obligation qui s’imposera à toutes les entreprises françaises dès septembre 2026. Si cette évolution promet des gains de productivité, elle expose les entreprises à des risques accrus, notamment en matière de fraude. Pourquoi la vérification des IBAN devient-elle essentielle ? Avec la réforme de la facturation électronique, les entreprises vont intégrer directement les fichiers de factures dans leurs systèmes informatiques. Cette obligation renforce la nécessité d’être vigilant, car les cybercriminels perfectionneront encore leurs techniques pour infiltrer les systèmes et modifier les fichiers de factures électroniques ou bases de données en toute discrétion. Ce type de fraude peut avoir des conséquences lourdes : Virements frauduleux : les fonds sont détournés vers un compte frauduleux. Interruption des relations fournisseurs : un paiement mal orienté peut entraîner des litiges. Pertes financières : la récupération des fonds volés est souvent complexe et rarement garantie. Les défis des grandes entreprises face au volume Pour les grandes entreprises, qui traitent un grand nombre de factures dans des organisations souvent décentralisées, vérifier manuellement les IBAN devient rapidement impraticable. La combinaison de volumes élevés et de données dispersées rend la gestion encore plus complexe et expose davantage aux risques de fraude. Des solutions pour sécuriser vos paiements Heureusement, il existe des outils performants pour garantir que les IBAN figurant sur vos factures sont bien valides et correspondent à vos fournisseurs. 1. SEPAmail Diamond : une solution bancaire pour valider les IBAN SEPAmail Diamond est un service bancaire conçu pour vérifier l’authenticité des IBAN. Ce dispositif offre plusieurs garanties : Validation de l’IBAN : vérifie que l’IBAN est correct et actif. Appartenance au bénéficiaire : confirme que le compte est bien celui du fournisseur prévu. Cependant, cet outil ne fonctionne que si les entreprises l’intègrent et l’utilisent systématiquement dans leurs processus de paiement. 2. MATA IO : un logiciel dédié pour une protection renforcée Pour aller plus loin, des solutions comme MATA IO permettent de sécuriser vos paiements de manière proactive et continue. Voici comment cela fonctionne: Surveillance automatique : MATA IO analyse en temps réel toutes les modifications apportées à votre base fournisseurs, notamment les créations et changements d’IBAN. Vérification automatisée : à chaque mise à jour ou saisie d’un nouvel IBAN, le logiciel interroge automatiquement SEPAmail Diamond pour valider les informations. Alertes instantanées : en cas d’incohérence ou de risque détecté, les paiements potentiellement frauduleux sont bloqués. Avec ce type d’outil, vous avez l’assurance que chaque euro viré arrivera bien sur le bon compte bancaire. En conclusion sur les factures électroniques La facturation électronique représente une avancée majeure pour la gestion des entreprises, mais elle nécessite une vigilance accrue face aux risques de fraude. En intégrant des solutions comme MATA IO, vous pouvez renforcer la sécurité de vos paiements, même dans un contexte de digitalisation massive. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.
MATA IO s’allie à GENERIX pour accompagner les entreprises dans la transition vers la facture électronique

Facture électronique – MATA IO annonce un partenariat stratégique avec GENERIX pour renforcer l’accompagnement des entreprises dans la digitalisation de leurs flux de facturation Strasbourg, le 12 mars 2025 – MATA IO, éditeur innovant de solutions de gestion des flux financiers et de dématérialisation, annonce la signature d’un partenariat stratégique avec GENERIX, acteur mondial de la dématérialisation des flux, et future PDP (plateforme de dématérialisation partenaire, très engagée dans la réforme de la facture électronique. Cette alliance vise à offrir aux entreprises une réponse complète et conforme pour mettre en œuvre la facture électronique, obligatoire en réception dès septembre 2026. Une réponse concrète aux enjeux de la facture électronique Dans un contexte de généralisation de la facture électronique, MATA IO propose MATA INV-IO, une solution performante qui vient s’interfacer avec votre système existant. MATA INV-IO convertit les factures en flux XML, les route automatiquement vers la plateforme de facturation, récupère les flux entrants, et les intègre dans les ERP des entreprises. Ce dispositif permet d’automatiser et de sécuriser les processus tout en assurant la conformité réglementaire. La qualité des données clients au cœur des préoccupations Conscient de l’importance de la mise en conformité des clients, MATA IO a développé TP UP, un outil d’audit, de correction et d’enrichissement des bases clients et fournisseurs. Cette solution garantit la fiabilité des données en amont de tout processus de dématérialisation pour éviter de futurs rejets de factures. Une offre unique de contrôle des IBAN sur factures MATA IO se distingue sur le marché en proposant depuis 2014, la seule solution intégrée combinant la vérification des IBAN, la communication bancaire et la gestion de trésorerie. Cette solution vient s’interfacer avec MATA INV-IO pour automatiser le contrôle des IBAN des factures fournisseurs qui, avec la réforme, seront directement intégrées dans vos systèmes avec tous les risques de fraude qui en découlent. Un accompagnement global, de l’édition à l’intégration Au-delà de son savoir-faire d’éditeur, MATA IO est également un spécialiste de l’intégration, assurant l’interopérabilité avec les systèmes existants et une mise en œuvre fluide des projets. Cette double compétence permet de garantir une expérience client optimale, de la conception à l’exploitation. Une couverture terrain grâce à un réseau d’intégrateurs experts Pour garantir une qualité de déploiement homogène sur l’ensemble du territoire, MATA IO s’appuie sur un réseau de partenaires intégrateurs. Proches des clients, ces experts assurent un accompagnement personnalisé, avec une forte expertise en sécurisation des flux et dématérialisation des processus. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.