Fraude au virement : Comment l’intelligence artificielle transforme durablement le secteur bancaire

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Fraude au virement – Le secteur bancaire vit une profonde mutation, portée par l’accélération technologique, l’évolution des attentes des clients et la pression des nouvelles réglementations. Dans ce contexte, l’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un levier stratégique, mais aussi comme un défi majeur. Pour les dirigeants, son intégration ne relève plus du choix : elle devient un impératif pour rester compétitif face à une transformation systémique. Pourquoi l’IA est essentielle à l’avenir du secteur bancaire Les clients attendent désormais de leurs banques des services digitaux aussi fluides, rapides et personnalisés que ceux proposés par des géants comme Amazon ou Google. Pour y répondre, les établissements doivent miser sur l’IA bancaire afin de : Simplifier l’onboarding client Renforcer la sécurité et la confidentialité des données Détecter proactivement les besoins des clients Offrir des services financiers personnalisés L’IA permet ainsi aux banques de s’aligner sur les standards d’excellence des acteurs technologiques et de proposer des expériences utilisateurs adaptées aux usages actuels. Automatiser les processus pour gagner en efficacité Au-delà de l’expérience client, les banques doivent repenser leur fonctionnement interne. L’automatisation des workflows bancaires grâce à l’IA permet d’abandonner les processus obsolètes, souvent freinés par des silos organisationnels. Pour les dirigeants, il s’agit désormais de connecter tous les services sur une plateforme unique et intelligente. Cette automatisation : Réduit les tâches répétitives Optimise les analyses de données Libère du temps pour les collaborateurs, qui peuvent se concentrer sur des missions à forte valeur ajoutée : relation client, décisions stratégiques, innovation. 2025 : l’année charnière pour l’IA dans la finance L’année 2025 marque une nouvelle phase pour les banques. Il ne suffit plus d’expérimenter : les approches cloisonnées doivent laisser place à une stratégie globale de transformation. Les institutions financières doivent aligner leurs enjeux business avec une vision technologique intégrée. En d’autres termes, l’IA n’est plus un projet secondaire. C’est le socle de la banque du futur, tant pour la performance opérationnelle que pour l’expérience employé et client. Détection de la fraude au virement : un enjeu prioritaire Parmi les menaces les plus critiques, la fraude au virement constitue aujourd’hui un risque majeur pour les établissements financiers. Grâce à l’intelligence artificielle, les banques peuvent désormais analyser les transactions en temps réel, repérer des comportements suspects et bloquer les virements frauduleux avant leur exécution. Les modèles d’IA analysent des volumes massifs de données pour identifier des anomalies, comme un changement soudain de RIB ou une activité inhabituelle sur un compte. Cette capacité de détection proactive est essentielle pour renforcer la cybersécurité bancaire et protéger les clients contre les fraudes de plus en plus sophistiquées. Maîtriser l’intelligence artificielle : conformité, sécurité et innovation La gestion des risques, la conformité et la lutte contre la fraude sont des domaines où l’IA transforme déjà les pratiques. En plus de la fraude au virement, les cas d’usage incluent : La détection de blanchiment d’argent L’automatisation des audits réglementaires La génération de rapports conformes Avec l’entrée en vigueur du AI Act européen, les banques doivent assurer la transparence et la traçabilité de leurs algorithmes. L’IA générative commence également à se déployer pour créer des assistants virtuels, analyser des transactions à grande échelle ou encore automatiser la gestion informatique. IA et transformation bancaire : vers une nouvelle ère Le basculement vers des opérations pilotées par l’IA représente bien plus qu’une modernisation. C’est une refonte en profondeur du modèle bancaire, indispensable pour rivaliser avec les fintechs et néobanques, qui misent tout sur l’agilité et l’expérience utilisateur. Pour rester dans la course, les banques traditionnelles doivent franchir un cap technologique, intégrer l’IA à tous les niveaux et répondre à une exigence claire : offrir des services bancaires personnalisés, rapides et intelligents. Conclusion : l’IA comme levier stratégique pour les banques L’intelligence artificielle redessine le paysage financier. Pour les banques, la détection de la fraude au virement, la conformité et l’expérience client ne peuvent plus être dissociées d’une stratégie IA. L’avenir du secteur repose sur des plateformes connectées, intelligentes, et capables de s’adapter en permanence aux exigences du marché et des utilisateurs. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.

Atelier FORUMDIMO – Sécurisation des flux bancaires avec MATA IO

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Jeudi dernier, au Palais de la Bourse à Lyon, s’est tenu un atelier très intéressant dans le cadre du FORUMDIMO, intitulé : « Comment le groupe Martin BELAYSOUD sécurise ses flux bancaires avec la solution MATA IO ». L’atelier était animé par Luc Meunier, ingénieur commercial chez DIMOSOFTWARE, qui a introduit les intervenants et mené les échanges. Frédéric Thomas, représentant du groupe Martin BELAYSOUD, a partagé un retour d’expérience concret sur les résultats obtenus dans la lutte contre la fraude, grâce à l’implémentation de MATA IO. À ses côtés, Marie-Thérèse Brogly, fondatrice et dirigeante de MATA IO, a détaillé les fonctionnalités de la solution et son apport en matière de sécurisation des flux financiers. Une session claire et enrichissante, qui a mis en lumière l’efficacité des outils digitaux pour renforcer la sécurité des règlements en entreprise. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.  

Facturation électronique 2026 : 6 mois pour nettoyer et enrichir ses bases clients, 1 an pour être prêt

facturation électronique 2026

Facturation électronique – L’échéance approche : à partir de septembre 2026, toutes les entreprises assujetties à la TVA en France devront être en mesure d’émettre et de recevoir des factures dématérialisées. Pour éviter des rejets de facture et des retards de paiement, la fiabilisation des données clients est indispensable. Objectif : en 6 mois, structurer, nettoyer et enrichir les données clients et fournisseurs. Dès septembre 2025, collecter les informations d’adressage de ses clients pour une facturation électronique sans accroc.   Un enjeu clé : des données clients précises et fiables Chaque facture devra contenir des informations précises pour être acceptée par les plateformes de dématérialisation, notamment : Le SIREN : identifiant unique de l’entreprise. Le numéro de TVA intracommunautaire : obligatoire pour les transactions en Europe. L’identifiant d’adressage : choisi par le client, qui peut comporter un SIRET (identifiant de l’établissement) .   Une information erronée ou absente peut entraîner le rejet des factures, des retards de paiement et des problèmes de conformité fiscale.   Nettoyer ses bases de données : une priorité absolue Un audit rigoureux des bases clients et fournisseurs est indispensable pour repérer et corriger les erreurs. Ce travail comprend : ✅ Vérification des SIREN, SIRET et numéros de TVA. ✅ Élimination des doublons et des fiches obsolètes. ✅ Complétion des données manquantes pour garantir une facturation fluide.   Un référentiel client propre et à jour est une condition sine qua non pour assurer une transition en douceur vers la facturation électronique.   Enrichir ses bases avec des outils adaptés Des solutions existent pour automatiser cette collecte et fiabiliser les données : Accès aux bases officielles (INSEE, VIES…). Vérification et récupération automatique des informations légales des entreprises. Mise à jour continue des données clients et fournisseurs. L’enrichissement des bases ne doit pas être un travail ponctuel, mais un processus continu. Il est essentiel de suivre les évolutions des entreprises partenaires (changement de raison sociale, de siège social, radiation…) pour éviter toute mauvaise surprise.   Structurer son adressage et collecter les identifiants de facturation Dès septembre 2025, l’annuaire centralisé de la facturation électronique sera disponible, pour répertorier les données d’adressage des entreprises. A cette date, les entreprises devront idéalement avoir arrêté leurs codes d’adressage (SIREN, SIRET ou SIREN SUFFIXE), mais aussi commencé à collecter les adresses électroniques de facturation de leurs clients.   Pourquoi anticiper cette collecte ? ✔ Éviter les retards : une adresse mal renseignée peut bloquer la transmission des factures et retarder les paiements. ✔ Garantir la conformité : l’identifiant d’adressage sera probablement une donnée obligatoire sur la facture. Comment bien préparer cette collecte ? ✅ Communiquer avec les clients pour expliquer la démarche et obtenir leur coopération. ✅ Mettre en place un processus de validation pour s’assurer que les adresses collectées sont correctes et opérationnelles. ✅ Utiliser des outils automatisés pour centraliser, mettre à jour et sécuriser ces informations en continu.   Les bons outils pour une mise en conformité efficace Des solutions spécialisées, comme MATA IO, facilitent l’audit, l’enrichissement et la mise à jour des bases de données. Ces outils permettent de : ✅ Automatiser la validation des informations clients et fournisseurs. ✅ Assurer la conformité du référentiel dans le temps, sans effort manuel excessif. ✅ Sécuriser les transactions et prévenir les fraudes liées à la facturation électronique.   Conclusion : 6 mois pour fiabiliser les données, 1 an pour être prêt à la facturation électronique Le passage à la facturation électronique impose aux entreprises une organisation rigoureuse de leurs données. L’anticipation est la clé d’une transition fluide. Les entreprises qui agissent dès aujourd’hui vont s’éviter bien des complications en 2026. Pour en savoir plus sur nos logiciels, contacter le 0806110020.